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KATE MCCGWIRE

Кейт Маккгваер

KATE MCCGWIRE2

source: katemccgwire

“I gather, collate, re-use, layer, peel, burn, reveal, locate, question, duplicate, play and photograph”
Kate MccGwire’s practice probes the beauty inherent in duality, exploring the play of opposites – at an aesthetic, intellectual and visceral level – that characterises the way we conceive the world. She does this by appealing to our essential duality as human beings, to our senses and our reason, and by drawing on materials capable of embodying a dichotomous way of seeing, feeling and thinking. The finished work has a consistent ‘otherness’ to it that places it beyond our experience of the world, poised on a threshold between the parameters that define everyday reality.
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source: chassenatureorg

Kate MccGwire évolue dans un monde fascinant et fantastique. A partir de plumes de pigeon patiemment récoltées, nettoyées et assemblées, elle crée depuis 2004 une faune inédite de formes mêlées, entrelacées, animées de mouvements, d’ondulations, qui semblent douées de vie et d’expansion. Ce bestiaire tout droit sorti d’un livre de contes de fées, qui s’enroule sur lui-même, et dont on ne saurait trouver ni commencement ni fin, nous ramène à des temps obscures, primaires et incertains tout en nous semblant d’une incroyable familiarité.

Extrêmement fragiles, les oiseaux naturalisés requièrent d’être conservés à l’abri de vitrines. Dans les demeures des particuliers, comme dans les musées d’histoire naturelle ou dans les salles du musée de la Chasse et de la Nature, ces volières étanches participent de la mise en scène des volatiles qu’on y maintient enfermés. Dans nombre de ses œuvres, Kate MccGwire adapte des vitrines anciennes à la présentation de ses étranges sculptures gainées de plumes. Comme dépourvus de membres et privés de sens, ces animaux-troncs semblent pétrifiés dans le sommeil. Confinés dans un espace insuffisant à les contenir autrement que recroquevillés – à mi-chemin entre le cercueil des bienheureux de cire et le bocal de formol – les figures animalières de Kate MccGwire semblent bien trop à l’étroit et font craindre les conséquences de leur réveil…

Ce ressort anxiogène s’avère l’un des axes principaux du travail de Kate MccGwire : en jouant tout à la fois sur l’emploi de matériaux communs et facilement identifiables mais inusités, l’artiste reprend en partie le concept freudien d’Unheimlich (l’étrange ou, littéralement, l’inhospitalier), c’est à dire l’idée que le familier peut, en quelque sorte, susciter la peur. La nature première du matériau persiste dans nos esprits et vient comme troubler, tout au moins parasiter, notre vision. Par ailleurs, en s’appuyant sur l’imaginaire collectif, les associations d’idées et les oppositions conscientes ou inconscientes, Kate MccGwire se confronte à la notion de Beauté : ce sentiment du beau qui serait indépendant de tout principe d’esthétisme, un beau qui serait problématique, complexe, et pourquoi pas repoussant ! Pour rendre beau ce qui, a priori, ne l’est pas, l’artiste joue sans cesse avec les perceptions des spectateurs, allant jusqu’à sacraliser ses « curiosités » en les enchâssant dans les précieuses vitrines anciennes qu’elle choisit avec soin. C’est ainsi que, face à ces créations indéfinissables, celui-ci reste souvent aimanté, qu’il apprécie ou qu’au contraire il rejette ce qui lui est donné à voir.
Kate MccGwire est née en 1964. Elle vit et travaille à Londres.
Exposition présentée en partenariat avec La Galerie Particulière, Paris.
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source: scribbledigitwordpress
Kate MccGwire is a little different to Barton. MccGwire was born in Norwich, 1964, the majority of her work is sculpture. She gathers materials from various sources over a period of months, even years. I look in awe at her pieces. She works great with feathers and layer them till they produce lovely flowing, sensuous forms. The viewers’ eye is drawn into the work through the use of continuous rhythmic shapes and the use of unusual material which some observers may find a little disturbing.
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source: ocionet

Kate Mccgwire nació en Norwich en los años 60 y su trabajo actualmente sorprende por la brillante originalidad y por la discusión que mantiene abierta en cada uno de nosotros sobre el concepto de belleza.
La artista cree que la belleza no es solamente algo que agrada los sentidos, puede ser también un problema, algo que nos repele y que nos hace cuestionar ciertas afirmaciones absolutas.
A la artista la fascina la idea de que la belleza puede ser mucho más que el ser bello, puede ser un fenómeno cultural por donde pasa su proceso creativo. Su obra invita el espectador a “mirar para dentro” y repensar en sus preconceptos teniendo casi siempre como resultado una interpretación racional.
Todas esas sensaciones la artista consigue con esculturas singulares que se forman por camadas y que parecen querer tragarnos.
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source: cultureim

Кейт Маккгваер (Kate MccGwire) яркий представитель авангардного искусства. для изготовления своих скульптур Кейт выбрала крайне нехарактерный для мира скульптуры материал — перья! С их помощью автор создаёт уникальные ,наполненные динамикой и жизнью абстрактные скульптуры. Смесь фактур,цветов и форм рождает напористые потоки, заполняющие пространство выставочных залов , при виде которых перехватывает дыхание! Пройти мимо этих удивительных творений просто не представляется возможным : композиция , цвет и форма — находятся в полной гармонии и буквально завораживают посетителей выставок Кейт Маккгваер .
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source: wikilinksfr

l’artiste anglaise Kate McGwire utilise des plumes d’oiseaux (canard colvert et pigeon) pour créer ces sculptures qui s’intègrent parfaitement aux décors.