highlike

LOUIS BLANC

corpus

source: loublancphotos
Après deux expériences photographiques (une brève avec un reflex argentique Minolta XG2 dans les années 1980 et une plus longue dans les années 2000 avec un compact numérique) je prends conscience en 2010 que mon matériel devient limité et je fais l’acquisition de mon premier reflex numérique un Canon EOS 550D et là … je redécouvre la photographie !
Autodidacte j’apprends les techniques de prises de vue et de post-traitement dans des magazines spécialisés et sur des forums … n’hésitant pas à soumettre mes clichés à la critique … toujours constructive !…
Cet intérêt pour la photo se transforme rapidement en passion et c’est naturellement presque sans le vouloir que deux centres d’intérêt ont émergé :
-Premier axe de ma pratique : l’architecture (au sens large) édifices religieux et historiques, paysages urbains.
-Deuxième axe : portraits et travail sur l’image du corps, son propre langage qui peut susciter interrogation voire émotion lorsque le corps est mis en scène et photographié d’une certaine façon.
.
.
.
.
.
.
.
source: loublancphotos
After two photographic experiments (a brief one with a reflex Minolta in the 1980′s and longer one in the 2000′s with a compact camera) I realised in 2010 that my equipment was limited and I purchased my first SLR a digital Canon EOS 550D and … I rediscovered photography !
I learned self shooting techniques and post-processing in specialized magazines and newsgroups.. I did not hesitate to submit my photos to criticism which is always helpufl!
My interest in the photographic activity quickly turned into a passion and it is naturally and almost uwillingly that two centers of activity emerged.
First line of my practice : architecture and urban landscapes.
Second line: portraits and work on body image, its own language which can generate questions or emotion when the body is staged and photographed in a certain way.
.
.
.
.
.
.
.
source: ladepechefr
Il s’agit en fait d’un homme refermé sur lui-même, semblant buter contre l’exiguïté du cadre. Cet homme c’est Louis Blanc, 56 ans, ancien conducteur de travaux passé à la photo «sérieusement», depuis seulement 2010. Avec comme sujet lui-même, dans une série, «Corpus» qui frappe les regards par sa puissance et son exigence formelle.
La passion d’un autodidacte
«Je ne suis pas spécialement souple, affirme le photographe toulousain, et je n’ai jamais recherché la performance physique. J’utilise simplement les effets que permettent certaines optiques.»
Louis Blanc se plie mais ne rompt pas, se cachant derrière ses poings, transformant bras et jambes en inextricable forêt. On cite quelques références illustres, il affirme ne les avoir découvertes qu’après coup. «Complètement autodidacte», le photographe a affiné son regard en montrant des images sur les forums spécialisés, sur Internet. Il a aussi participé à des concours, dont celui du magazine «Réponses photo», qui lui a valu une exposition à Arles l’été dernier. «Ce que je fais, ce ne sont pas exactement des autoportraits. Je me suis photographié uniquement pour des raisons pratiques, au moins j’avais mon modèle sous la main. Le reste s’est fait à l’intuition, chez moi, avec un drap comme fond, le plus souvent en lumière naturelle. J’ai juste utilisé Photoshop pour repasse ce drap souvent fripé !»
Le résultat, cette architecture de muscles, ces yeux clairs qui semblent chercher une issue, Louis Blanc en a été le premier surpris, «d’une façon qui m’a dépassé, qui n’était pas calculée.» Il n’est pas le seul.
.
.
.
.
.
.
source: designcatwalk
When creativity pushes its boundaries further and further, the result we get is a glimpse of genius work, the more we come closer to a state of creative enlighting the more we get results like the following pictures.
As soon as I saw the protraits of the photographer Louis Blanc, I was impressed by his incredible interpretation of the human body. It is not easy to look at reality through the eyes of others, but photography, especially in this case, gives to us many suggestions of how the body is seen by artists.
Exaggerated dimensions and distorted perspectives attempt to transform the body perception through close-ups.