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Dan Tepfer

Natuurlijke Machines Afl. 11: Fractal Boom
In Natural Machines bepaal ik in plaats van een stuk te componeren hoe een stuk werkt. Ik programmeer eenvoudige regels die de computer moet volgen bij het reageren op wat ik speel. Omdat ik improviseer, luister ik altijd naar wat de computer speelt en reageer ik er ook op. Dus uiteindelijk raken de regels mij ook. De visualisaties die ik heb gemaakt, zijn bedoeld om de onderliggende muzikale structuur van elk stuk te onthullen. Ze worden in realtime gegenereerd terwijl ik speel. Alles op het scherm is een directe weergave van een bepaald aspect van de muziek: toonhoogte, dynamiek, ritme, harmonie.

Claire Malrieux

Climat General College des Bernardins
Se référant à l’« Hypothèse Gaïa » de James Lovelock, Malrieux transforme la figure de Gaïa en une machine climatique autonome qui affiche un espace dynamique et organique, construit selon des flux de données empruntés aux principaux modèles climatiques prédictifs. A travers différents scénarios programmatiques, l’artiste met en évidence l’influence de l’homme sur son environnement, un environnement en perpétuelle mutation dont la fin ne peut être programmée. Car si l’entrée dans l’anthropocène marque la fin d’une Terre en extension, elle marque surtout le début d’autre chose : une situation différente dans le temps et dans l’espace. Un espace où le décor est en mouvance et dans lequel l’histoire humaine s’adapte et évolue.
L’usage simultané du dessin et des algorithmes permet de visualiser des interactions et des causes à effets habituellement invisibles, de les décoder et d’en interroger les enjeux.

Ralf Baecker

Een natuurlijke geschiedenis van netwerken / Soft Machine
A Natural History of Networks / SoftMachine is een elektrochemische algoritmische machine die een alternatief computationeel en technologisch materiaalregime onderzoekt, gebaseerd op Gordon Pask’s experimenten met elektrochemische leermechanismen [↓ 1] en huidig ​​onderzoek naar biomimetica, programmeerbare materie en vloeibare ruimtetijdgestuurde metalen actuatoren . Binnenin creëert een op maat gebouwd elektrochemisch experimenteel apparaat (SoftMachine) een dynamische vloeibare microkosmos die een continue evolutie van vormen, structuren en materiële verhalen uitvoert. De voorstelling heeft tot doel nieuwe verbeeldingen van het machinale, het kunstmatige en het materiële uit te lokken. Een radicale technologie die traditioneel discreet mechanisch denken verbindt met zachte/vloeibare materialen die zelfgeorganiseerd gedrag mogelijk maken via hun specifieke materiële agentschappen.

INT studio

Fotomat
“Fotomat” is een interactieve installatie geprogrammeerd voor de grafische ontwerpstudio NORM (Dimitri Bruni, Manuel Krebs, Ludovic Varone). Het object werkt als een fotohokje volgens de regels van het Archief U.768: het produceert foto’s van 24 x 32 pixels in zwart-wit die worden afgedrukt door een thermische printer. Zo kunnen bezoekers hun gedrukte portret mee naar huis nemen als aandenken aan hun tentoonstellingsbezoek.

RICCARDO BLUMER

Mur
Riccardo Blumer Atelier a travaillé avec une équipe d’étudiants pour créer cette machine exposée à la Biennale d’architecture de Venise, qui est programmée pour construire et réparer un mur à bulles de 11 mètres de long. L’installation robotique, appelée Wall, est conçue pour mettre en évidence les limites des limites physiques. Il est programmé pour remplir un seul objectif: maintenir une structure complète en forme de mur composée de onze segments en forme de bulles aussi longtemps que possible.

Jonathan Monk

All The Possible Combinations Of Eight Legs Kicking
Intégrant mouvement, performance et imagerie, l’exposition explore les idées derrière le temps et la séquence, tandis que Monk interroge subtilement la compréhension du spectateur du passage du temps. Avec “Toutes les combinaisons possibles de coups de pied de huit jambes (une à la fois)” (2012-2013), Monk démontre la contrast entre la réalité clinique du temps et notre réaction spontanée. L’œuvre est une représentation littérale de son titre – car les jambes ont été programmées pour donner un coup de pied dans toutes les séquences possibles, soit un total de 40320 séquences différentes qui prennent plus de 177 heures à terminer. Contrairement à cette démonstration objective, le geste de donner des coups de pied est assez explosif, imitant les mouvements d’un danseur de cancan, et c’est cette explosion d’émotion qui met en évidence le suspense qui existe tout au long de l’œuvre. Alors que le spectateur est conscient que les jambes sont spécifiquement programmées pour donner un coup de pied à un moment précis, l’heure précise à laquelle cet événement se produit n’est pas donnée, créant une sorte de jeu de devinettes où le spectateur tente de prédire quand chaque coup de pied se produira, à chaque fois. individu ayant sa propre idée du moment où cela se produira.

MANFRED MOHR

Reflexions sur une esthetique programmee

Influencé par son expérience de musicien de jazz et par les théories du philosophe allemand Max Bense sur l’esthétique rationnelle, Manfred Mohr a été un innovateur dans le domaine de l’art généré par ordinateur. Pour manipuler, par exemple, la myriade de variations de l’hypercube à 11 dimensions, Mohr a créé des algorithmes en langage de programmation FORTRAN et les a imprimés sur des traceurs à plat avant l’avènement des imprimantes laser. La série «Klangfarben» de Mohr (2008) présente des peintures et des animations numériques de lignes diagonales aux couleurs vives et de plans qui se croisent sur un fond noir mat. .