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Donatien Aubert

La Cybernétique, le vivant et la ville
Le travail théorique et plastique de Donatien Aubert vise à problématiser l’héritage philosophique, épistémologique et politique des paradigmes cybernéticiens, et leur résilience dans des mouvements comme l’écologie et le transhumanisme.

LEE YONG BAEK

Soldat Ange
Lee est surtout connu pour ses œuvres d’installation à une seule chaîne vidéo, mais présente en fait un plus large éventail d’œuvres, notamment des sculptures, des arts cinetiques,des peintures et des performances. Ses pièces couvrent des thèmes tels que la religion, la style=”color: #333399;”>politique et la philosophie.

TOMAS SARACENO

توماس ساراسينو
托马斯·萨拉切诺
トマスサラセーノ
Flying Garden
Les recherches de Saraceno ont un objectif très précis, la création de systèmes de vol en plates-formes flottantes dans le ciel, constitués de cellules habitables en suspension dans l’air, qui peuvent changer de forme et se rejoindre comme des nuages. Ce projet, baptisé Air – Port-City, n’est pas une simple expérimentation des possibilités technologiques, mais vise à réexaminer la liberté de voyager d’un pays à l’autre, en relation avec les dynamiques géopolitiques, en n’utilisant que le droit international et en dépassant les restrictions politiques, sociales, culturelles et militaires de la société contemporaine. Au fil des années, cette vision utopique d’une vie suspendue dans le ciel a conduit Saraceno à créer une série de structures expérimentales telles que des ballons gonflables ou des structures modulaires pouvant interagir avec les énergies naturelles. Ses recherches étudient la possibilité de coloniser le ciel, à la recherche de tout appareil pour la vie dans les nuages, dans une bulle transparente, la migration entre les nuages, basée sur les vents et la météo, en utilisant l’énergie solaire.

MANUELA LALIC

genius idea
Je porte une attention particulière à l’aspect fonctionnaliste de notre système d’organisation sociale en tant que modèle de société. Pour créer l’effet d’une tension entre ce qui est individuel et collectif, j’utilise des objets, mobilier et matériaux fonctionnels comme des indices de notre logique de vie. Mes installations, performances et objets questionnent des mouvements de masse (ex : prendre le métro) pour montrer du doigt notre société qui préfabrique et standardise nos désirs et nos besoins. Par l’accumulation, il se trame une matière première à partir de laquelle elle élabore des mises en scène minimalistes ou exubérantes qui questionnent nos moments collectifs (ex : pique-nique, mariage, réunion universitaire) tout en indiquant des préoccupations d’ordre politique et écologique.