ALAIN GAGNOL & JEAN-LOUP FELICIOLI
Une Vie de Chat
source: virtual-illusionblogspot
“Une Vie de Chat”, nomeado ao Oscar 2012
A categoria de Melhor Animação faz 10 anos nos Oscars, e desses 10 anos a Pixar ganhou 6 – Finding Nemo (2003), The Incredibles (2004), Ratatouille (2007), WALL-E (2008), UP (2009), Toy Story 3 (2010) – 4 dos quais nos últimos quatro anos. Este ano não temos qualquer nomeado da Pixar, por isso teremos de escolher um filme fora dessa “categoria”!
Os filmes nomeados são A Cat in Paris, Chico & Rita, Kung Fu Panda 2, Puss in Boots, Rango. Destes elimino qualquer uma das animações 3d, ou seja os últimos três porque não apresentam nada de novo, restando-nos duas opções Une Vie de Chat e Chico & Rita. Ainda não tendo visto Chico & Rita, apenas o seu trailer, e acabado de ver Une Vie de Chat, sinto-me inclinado para que este possa ganhar o prémio.
Une Vie de Chat é um filme francês de 2010, estreado nos EUA em 2011. Produzido pelo estúdio Folimage e realizado por Alain Gagnol e Jean-Loup Felicioli. Conta-nos a história de um gato que leva uma vida dupla na noite de Paris. O filme não é brilhante narrativamente, pegando nos clichés narrativos das histórias de crime, mas torcendo-os para que nunca consigamos chegar a antever com clareza o que vai acontecer. Por outro lado e em contra-ponto é magnífico em termos visuais, uma verdadeira pedra preciosa.
O filme apresenta a clara vantagem de conseguir chegar a um público com idade alargada, muito ao estilo da Pixar. Para além disso fazendo uso de uma base de crime, apelará facilmente ao público americano. A contribuir para isso serve também o uso da música espectáculo à la Batman que nos embala nas corridas sobre os telhados de Paris, na geração do suspense e thrill. O lado crime e aventura sobre os céus de Paris transporta-nos também para um registo de Código Da Vinci (2003). Mas é na atmosfera e no visual que o filme mexe conosco, por momentos parecia estar a revisitar o magnífico Estória do Gato e da Lua (1997) do Pedro Serrazina.
Dito tudo isto, já se percebeu que o filme é multi-facetado, não se focando num tema, nem em defesa de nada em particular, é puro entretenimento, mas de grande qualidade.
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source: drmathochistwordpress
Amid the Pixar and Dreamworks offerings, last year’s nominees for best animated feature included the French ink-and-paint offering, Une vie de chat (A Cat in Paris, in the English dub I saw), and I cannot for the life of me figure out why. The animation isn’t great and the story is clunky and tedious at its best. Does it get extra credit for being from Europe? Did they need to fill some quota of more traditional animation, and the far superior Chico and Rita wasn’t sufficient? Is it just because people love cats that much? I really can’t figure it out.
We’ve got a cat, Dino, who leads a double life. During the day he’s a housecat, living with the young Zoé (Lauren Weintraub); her mother, Jeanne (Marcia Gay Harden); and her nanny, Claudine (Anjelica Huston). But at night, Dino plays sidekick to a cat-burgler, Nico (Steve Blum). Enjoy the consonance between his name and “neko” — the Japanese word for cat — since that’s about as clever as Alain Gagnol’s screenplay ever gets.
Zoé’s father was a police detective until he was killed by Victor Costa (JB Blanc), a caricature of a crime boss with a bumbling gang and an obsession with a vaguely offensive African objet d’art. Zoé’s mother is also a police detective who, inexplicably, is still heading up the Costa case despite her clear emotional conflict of interest. At least she has the assistance of the harried Lucas (Matthew Modine).
The whole story is composed from clichés, especially ones lifted from police or crime dramas. Jeanne tells Lucas that they’ve found cat paw prints around the scene of each of a string of burglaries, and barks an order that he has twenty-four hours to come up with something from that clue; twenty-four hours later, no mention is made. The scene where Costa assigns code names to his gang is lifted in large part from Reservoir Dogs, but with no clue what made the dialogue work in that film. I really have seen Saturday-morning cartoons with deeper and better-developed plots.
Okay, so the story is a clunker, but maybe the movie’s acclaim is about its look? Here, too, there is only disappointment. The drawing style is incoherent and confusing. Perspective is not merely toyed with, but utterly disregarded at all scales. There is no sense of depth in motion; the characters move like paper cutouts, recalling the earlier, more amateurish look of South Park.
The movie does boast a decent score by Serge Besset, but good original music cannot carry the entire project. And it may have been made for children, but it doesn’t give them nearly enough credit. If you really are, for some reason, dead-set against computer-animated films, there is still no end to the better choices than this one. If you want something for children, you need look no further than Miyazaki. If you want to see how flexible and adaptable the medium can be, check out Chico and Rita. Heaping praise on anything that smells slightly higher-brow than the usual mainstream fare is a common temptation, but we don’t need to settle for this.
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source: anglesdevue
Premier long-métrage du duo Alain Gagnol /Jean-Loup Felicioli, Une vie de chat donne en effet la vedette à Dino, un chat noir zébré de reflets roux.
Le jour, il se comporte comme un matou tout ce qu’il y a de plus ordinaire, qui aime aller ronronner sur les genoux de sa maîtresse, Zoé, une petite fille triste, muette depuis la disparition tragique de son papa. La mère de la gamine, Jeanne, n’a pas beaucoup de temps à lui consacrer. Elle doit tenter d’arrêter le gang de l’affreux Costa, un mafioso qu’elle soupçonne d’être à l’origine de la mort de son mari. Pendant ce-temps, le sympathique félin joue les garde d’enfants, en concurrence avec l’antipathique gouvernante de la fillette.
Mais la nuit, pendant que tous les chats se grisent, Dino fait sa promenade nocturne jusqu’à un bâtiment voisin, non sans avoir provoqué le roquet de la maison d’à-côté, qui généralement, se prend une pantoufle dans la gueule (Bien fait! Les toutous n’ont qu’à pas aboyer comme des débiles dès que quelqu’un passe à proximité de leur domicile).
Là, notre héros rejoint Nico, un cambrioleur humain à l’agilité toute féline et ils commettent des vols acrobatiques à faire pâlir de jalousie les Ocean’s eleven en personne.
Ils ne sont pas les seuls à vouloir commettre des cambriolages. Costa nourrit une obsession pour une statue ancienne, et compte bien mettre la main dessus, mais pour cela, il a besoin d’informations en la possession de Jeanne.
Un soir, lui et sa bande pénètrent au domicile de la femme-flic. Zoé parvient à s’échapper et, suivant son chat, se réfugie chez Nico. C’est le début d’une course-poursuite pleine de péripéties, où la fillette pourra compter sur le dévouement incomparable de son compagnon félin et de ses griffes acérées.
Voilà un félin hors du commun dans un film d’animation pas commun non plus.
Déjà, on est surpris par le ton de l’oeuvre. Un polar plutôt noir sur fond de tragédie familiale, de deuil difficile et de truand psychopathe. Pas le genre d’histoire qu’on imagine dans un film destiné aux enfants.
Autant dire que, même s’il n’y a pas de quoi “fouetter un chat”, ce dessin animé ne conviendra sans doute pas aux plus jeunes des spectateurs. Il s’adresse davantage à un public de 7 à 77 ans, selon la formule consacrée.
Il faut dire qu’à l’origine, le film devait s’adresser à un public plus adulte, s’inscrivant dans la lignée des nombreux courts-métrages du duo Gagnol/Felicioli : la série des Tragédies minuscules, Le Nez à la fenêtre ou Mauvais temps, ou des polars écrits par Alain Gagnol. Des oeuvres déprimantes ou terrifiantes, selon l’intrigue… Un univers résolument mature mais baigné dans une certaine douceur, une poésie noire remarquable qui a fait la réputation des deux hommes.
Mais malgré les récompenses accumulées et la notoriété croissante du binôme, ils n’ont pas réussi à trouver les fonds pour monter un long-métrage essentiellement adulte. Supportés par Jacques-Rémy Girerd et le studio Folimage, ils ont finalement adouci leur récit en ajoutant le personnage du chat et en gommant, ça et là, les aspects les plus sombres du récit, afin de le rendre plus approprié à un public enfantin
Néanmoins, à la vision du film, on devine à plusieurs reprises les intentions originelles des auteurs, notamment à travers des hommages cinématographiques et des clins d’oeil que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître.
Ainsi Costa évoque-t-il à la fois un truand issu des films de Martin Scorsese – la scène de la quiche lorraine rappelle immanquablement la colère terrifiante de Joe Pesci dans Les Affranchis – et un tonton flingueur d’Audiard et Lautner – façon Bernard Blier.
Les hommes de main du criminel se voient affublés de noms de code, comme les gangsters de Reservoir dogs de Tarantino : Monsieur Hulot, Monsieur Bébé, Monsieur Patate, Monsieur Grenouille. Des hommages, respectivement, à Jacques Tati, Howard Hawks, John Lasseter et ses Toy Story, et Jacques-Rémy Girerd, auteur de La Prophétie des grenouilles.
Mais les hommages se font aussi graphiques.
Les yeux les plus perçants admireront le portrait d’Hannibal Lecter sur les murs du commissariat… D’autres reconnaîtront une référence à La Nuit du Chasseur de Charles Laughton lors de la séquence du zoo, et d’une manière générale, le film emprunte beaucoup aux polars et aux vieux films français des années 1950, avec sa musique jazzy et son décor parisien rétro…
Bref, ce film-là, c’est un véritable plaisir pour cinéphiles. Une madeleine qui réveille en chaque spectateur de vieux souvenirs sur pellicule, frissons de plaisir dans les salles obscures et émerveillements de gamins en 35mm.
Cela dit, les plus jeunes – et les moins cinéphiles – n’auront pas à se sentir frustrés, car le film est, avant tout, un régal pour les pupilles. Le dessin est aussi atypique que l’ambiance du film, mais il séduit par sa simplicité, par la douceur du trait, la finesse de l’animation, la beauté des éclairages et des couleurs. Et là, contrairement à de trop nombreux ²films d’animation hollywoodiens dont les personnages, tout en images de synthèse, finissent par tous se ressembler, il y a là un véritable style, une véritable identité de cinéaste(s).
Après, on peut toujours rechigner sur le scénario, un peu trop linéaire, mais peu de scripts de films pour enfants peuvent se targuer de traiter avec autant de poésie et de délicatesse des sujets aussi grave que la perte d’un parent, la violence et la folie du monde… Et puis, c’est une façon comme une autre de faire pénétrer les enfants dans un univers totalement différent, histoire de les sensibiliser à une approche plus artistique de l’animation, de faire travailler davantage leur imaginaire.
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source: paroolnl
Van de kat geen kwaad
Het was enkele jaren geleden aardig om te zien hoe kinderen die opgroeien met Pixar, Disney en gelikte Nintendogames ook oprecht konden genieten van de opzettelijk knullige poppetjesanimatie Paniek in het dorp.
De Frans-Belgische tekenfilm Van de kat geen kwaad is weliswaar minder druk en anarchistisch, maar lijkt wel gemaakt vanuit eenzelfde tegendraadse doe-het-zelfmentaliteit.
De film speelt zich af in een tijdloos Parijs waar ansichtkaartenromantiek, jazzy improvisatie en een expressieve tekenstijl naadloos samenvloeien. Het ogenschijnlijk uit de losse pols getekende beeldverhaal draait om het kleine meisje Zoë, dat na de traumatiserende dood van haar vader niet meer wil praten.
Zij vindt troost bij haar kat, die ‘s nachts op stap blijkt te gaan met een gehaaide inbreker. Deze dief blijkt een hart van goud te hebben als Zoë het doelwit wordt van de sadistische gangster die haar vader vermoordde.
Het is frappant hoe deze verre van realistisch getekende animatie toch reële emoties weet op te roepen. De halsbrekende ontknoping op de Notre Dame is echt spannend, en de momenten waarop de verdrietige Zoë zich tegen haar kat aanvlijt zijn oprecht vertederend. Van de kat geen kwaad is een charmante tekenfilm, waar ouders net zoveel plezier aan kunnen beleven als hun kinderen. (FRITZ DE JONG)
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source: verycd
一只名叫蒂诺的小猫,看尽巴黎的白天与黑夜。白天,它是小女孩佐伊(Oriane Zani 配音)宠物,每天早上为她带来小礼物。佐伊的父母都是警察,父亲被城中最大的恶棍维克托·科斯塔(Jean Benguigui 配音)杀害,母亲让娜(Dominique Blanc 配音)发誓将科斯塔绳之于法,渐渐忽略了对佐伊的关怀。小佐伊从此封闭了自己,不发一言。每到夜晚,蒂诺便跳出窗户,寻找它另一个生活在黑夜的朋友尼克(Bruno Salomone 配音)。尼克是一个身手敏捷的大盗,他神出鬼没,手法娴熟,不过蒂诺是他唯一的朋友。蒂诺穿梭往来,成为了两个完全不同的人儿间的奇妙纽带。
某晚,佐伊跟着蒂诺溜出房间,却意外遭遇企图抢劫展览馆石像的科斯塔团伙。佐伊、尼克和让娜纷纷被卷入其中……
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source: efilmynet
Opis:
Dino to kot, który prowadzi podwójne życie. W dzień mieszka z Zoe, dziewczynką, której matka jest policjantką. Nocą pracuje z Nico, włamywaczem o wielkim sercu, przemieszczającym się po dachach Paryża. Pewnego dnia kot przynosi Zoe bardzo cenną bransoletkę. Okazuje się, że należy ona do skradzionej kolekcji biżuterii. Zoe postanawia śledzić kota. Po drodze podsłuchuje rozmowę gangsterów i odkrywa, że jej niania należy do szajki…
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source: kino-liveorg
Кошачья жизнь (Жизнь кота)
Фильм Кошачья жизнь (Жизнь кота) в категории: Мультики
Год выхода Кошачья жизнь (Жизнь кота) онлайн: 2010
Дино — кот, ведущий двойную жизнь. Днем он живет с девочкой Зои и ее матерью офицером полиции, а по ночам участвует в ограблениях с профессиональным “домушником” . Но однажды, Зои решила проследить за котом Дино…