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Tom Friedman

Фридмен, Том
톰 프리드먼
トム・フリードマン
Untitled White Bread

TOM FRIEDMAN 346

source: berggruen
Tom Friedman was born in St. Louis, MO in 1965 and received his B.F.A. at Washington University, St. Louis, MO and his M.F.A. at the University of Illinois at Chicago. Tom Friedman’s art has been exhibited extensively in the United States and internationally. The quirky, and flawlessly executed work tends to defy categorization. While his art is often linked to 1960s Conceptualism and Minimal art, Friedman invents his own visual language through his almost obsessive attentiveness to detail and his striking ability to transform the familiar into the unexpected. He uses common household materials such as aluminum foil, spaghetti, fishing line, hair, Styrofoam, and Play-Doh to create works that rearrange the viewer’s perceptions of the everyday environment. Often humorous and always inventive, Friedman’s work raises questions about the making and seeing of art.
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source: luhringaugustine
Tom Friedman (b. 1965, Saint Louis, MO) makes extraordinary work that explores ideas of perception, logic, and possibility. His often painstakingly rendered sculptures and works on paper inhabit the grey areas between the ordinary and the monstrous, the infinitesimal and the infinite, the rational and the uncanny. His work is often deceptive, its handmade intricacy masked by a seemingly mass-produced or prefabricated appearance. Friedman’s deadpan presentation implies content and form are seamless; expectations are overturned as the viewer slowly perceives that chasm between illusion and reality. Friedman’s work has been internationally exhibited in galleries and museums, including solo exhibitions at the Museum of Modern Art, New York; the Fondazione Prada, Milan; Magasin 3 Stockholm Konsthall; the South London Gallery, and numerous other institutions. In May 2014, Friedman will have a solo exhibition of all new work at Luhring Augustine Bushwick.
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source: bernardceysson
Tom Friedman est né en 1965 à Saint-Louis, dans l’état du Missouri, aux états-Unis. Après avoir décroché un diplôme en illustration graphique à l’Université de Washington de Saint- Louis, Tom s’est lancé dans un Master en Beaux-arts à l’Université de l’Illinois, à Chicago. Il réside dans l’ouest du Massachusetts, dans une bâtisse entourée de forêts avec vue sur un lac, où vivent aussi sa femme Mary, ses trois enfants, un chien et de nombreuses œuvres d’art. Dans ce lieu privé, au calme, en pleine nature, il compose de la musique, écrit des livres, et cultive son jardin, avec le même souci de pureté et d’authenticité, qui confère à ses œuvres un attrait absolument unique.
Présentation
“Pour moi, l’art est à son sommet lorsque l’objet artistique nous aide à naviguer au sein de cette brume complexe, comme un phare lumineux. Ce que je trouve de tellement intéressant dans le contexte artistique et qui n’existe dans aucun autre champ de recherche, c’est qu’il inclut tout. Il est à l’intersection de tous les champs de recherche : science spiritualité, psychologie, philosophie …” Tom Friedman.
Tom Friedman travaille sur le quotidien, le petit, l’insignifiant. Paquets de corn-flakes (Untitled, 1999), chewing-gums (Untitled, 1990), savons (Untitled, 1990), papiers toilette (Untitled, 1989), crayons (Untitled, 1998), pailles (Untitled, 1997), sucres (Untitled, 1999) sont quelques-uns de ses matériaux de base (remarquez que les titres sont là pour vous aider à mieux visualiser les œuvres….). Rien de bien exceptionnel. Tout est à portée de main. Des consommables consommés que l’on croise chaque jour, que l’on utilise même. Presque assez simples pour que nos décorateurs télévisuels puissent reproduire ces mêmes pièces.
Seulement voilà, la différence, c’est ce qu’il en fait. Attention, il n’est pas « artiste de cirque » ni « artiste de rue » capable de créer un Balloon Dog (le faux, pas celui de Koons) en moins de deux. Il est plutôt dans la droite lignée des Kosuth, Bochner, Lewitt, Beuys ou Cage : il mêle allègrement l’intelligence du Fluxus à la puissance du Conceptuel. Il crée un art où l’idée prime sur la réalisation tout en étant capable de produire des pièces d’une grande force évocatrice, où l’esthétique croit encore en la poésie. Tom Friedman réinvente la vie, tout simplement. Dans ses oeuvres plus récentes, il côtoie les complexités folkloriques de Mike Kelley (Circus, 2006 – Green Demon, 2008) tout en gardant une âme d’enfant turbulent à la Martin Creed (Balloonsonceiling, 2006 – Care Package (manipulated), 2008 – Vomit, 2006). Des copains de jeux, évidemment.