highlike

JR

JR 56

source: jr-art

Artist: JR
This artist combines powerful social statements through large portraits and murals. Not only has he won a TED Prize in the past, but he is also often compared to other politically charged art works. His art work is just one simple wish to change the world one step at a time.

Method: Wheat Paste, gigantic mono photographs

Reason: His work of art brings forward common everyday materials to the light. Often introducing those who are unfortunate in the world and others who are often overseen.
.
.
.
.
.
.
.
source: vimural.hubpages

JR owns the biggest art gallery in the world. He exhibits freely in the streets of the world, catching the attention of people who are not typical museum visitors. His work mixes Art and Act, talks about commitment, freedom, identity and limit.

After he found a camera in the Paris subway, he did a tour of European Street Art, tracking the people who communicate messages via the walls. Then, he started to work on the vertical limits, watching the people and the passage of life from the forbidden undergrounds and roofs of Paris.

In 2006, he achieved Portrait of a Generation, portraits of the suburban “thugs” that he posted, in huge formats, in the bourgeois districts of Paris. This illegal project became “official” when the Paris City Hall wrapped its building with JR’s photos.

In 2007, with Marco, he did Face 2 Face, the biggest illegal exhibition ever. JR posted huge portraits of Israelis and Palestinians face to face in eight Palestinian and Israeli cities, and on the both sides of the Security fence / Separation wall. The experts said it would be impossible. Still, he did it.

In 2008, he embarked for a long international trip for Women Are Heroes, a project in which he underlines the dignity of women who are often the targets of conflicts.

At the same time, he creates up the project The Wrinkles of the City. These actions aim to show through theirs wrinkles, the inhabitants of a city, the history and memory of a country. The artist chose the cities that have experienced changes such as Cartagena in Spain, Shanghai or Los Angeles.

In 2010, his film Women Are Heroes is presented at Cannes in competition for the Camera d’Or.

In 2011, he received the Ted Prize, which offers him the opportunity to make “A wish to change the world”. He creates InsideOut, an international participatory art project that allows people worldwide to get their picture and paste it to support an idea, a project, an action and share their experience.

JR creates “Pervasive Art” that spreads uninvited on the buildings of the slums around Paris, on the walls in the Middle-East, on the broken bridges in Africa or the favelas in Brazil. People who often live with the bare minimum discover something absolutely unnecessary. And they don’t just see it, they make it. Some elderly women become models for a day; some kids turn artists for a week. In that Art scene, there is no stage to separate the actors from the spectators.

After these local exhibitions, the images are transported to London, New York, Berlin or Amsterdam where people interpret them in the light of their own personal experience.

As he remains anonymous and doesn’t explain his huge full frame portraits of people making faces, JR leaves the space empty for an encounter between the subject/protagonist and the passer-by/interpreter.
.
.
.
.
.
.
.
source:

Sua proposta se estende muito mais à sensibilidade e experiência de vida que algumas mulheres de partes diferentes do mundo, em diversos contextos históricos e contrastes culturais, viveram e como estas continuam sobrevivendo, mesmo em meio a tragédias e diversidades políticas. De forma surpreendente, os posters do fotógrafo JR são exibidos nas casas, telhados, prédios, muros e tudo o que pode sustentar o cenário urbano dentro de grandes cidades como Rio de Janeiro (no Morro da Providência), Camboja (que fica no sul da Ásia), pelas ruas de Nova Délhi (na Índia) e também por algumas favelas do Quênia.

Bonito é ver que JR consegue expressar tudo isso não só pelo registro do filme, mas também pelo seu trabalho que maximiza toda essa natureza fértil e inspiradora do universo feminino aos olhos de todos. Realmente tocante, desde a primeira cena, que literalmente dá luz a essa intensa força que tem a mulher ao gerar uma vida. Uma abordagem marcante, que nos faz ver muito mais que histórias de superação de mulheres da periferia: nos faz enxergar os olhos da alma.
.
.
.
.
.
.
.
source: jr-art

JR possède la plus grande galerie d’art au monde.

Grâce à la technique du collage photographique il expose librement sur les murs du monde entier, attirant ainsi l’attention de ceux qui ne fréquentent pas les musées habituellement. Son travail mêle l’art, l’action, traite d’engagement, de liberté, d’identité et de limite.

Après avoir trouvé un appareil photo dans le métro parisien en 2001, il parcourt l’Europe à la rencontre de ceux qui s’expriment sur les murs et les façades qui structurent les villes. Observant les gens qu’il rencontre et écoutant leur message, il colle leurs portraits dans les rues, les sous sols et les toits de Paris.

Entre 2004 et 2006, il réalise Portrait d’une génération : des portraits de jeunes de banlieue qu’il expose, en très grand format, dans les quartiers bourgeois de Paris. Dès ces premières actions, il cherche à amener l’art dans la rue. Ce projet illégal devient officiellement reconnu lorsque la mairie de Paris accepte l’affichage de ces photos sur ses bâtiments.
En 2007, avec Marco il réalise Face 2 Face, la plus grande expo photo illégale jamais créée. JR affiche d’immenses portraits d’Israéliens et de Palestiniens face à face dans huit villes palestiniennes et israéliennes et de part et d’autre de la barrière de sécurité. Dès son retour à Paris, il colle de nouveau ces portraits dans la capitale. Pour l’artiste, cette action artistique est avant tout un projet humain : « Les héros du projet sont tous ceux qui, des deux côtés du mur, m’ont autorisé à coller sur leur maison ».

En 2008, JR part pour un périple international à l’occasion de Women are Heroes, un projet dans lequel il souligne la dignité des femmes qui sont souvent les cibles de conflits.

À la même période, il met en place le projet The Wrinkles of the City. Ces actions visent à révéler à travers les rides des habitants d’une ville, l’histoire et la mémoire d’un pays. L’artiste choisit des villes ayant connu des bouleversements tel que Carthagène en Espagne, Shanghai ou encore Los Angeles.

En 2010, son film Women Are Heroes est présenté au festival de Cannes en compétition pour la Caméra d’Or.

En 2011, il reçoit le Ted Prize qui lui offre la possibilité de formuler “Un souhait pour changer le monde”. Il crée InsideOut, un projet d’art participatif international qui permet aux personnes du monde entier de recevoir leur portrait puis de le coller pour soutenir une idée, un projet, une action et de partager cette expérience.

JR crée un « art infiltrant » qui s’affiche sur les immeubles des banlieues parisiennes, sur les murs du Moyen-Orient, sur les ponts brisés d’Afrique ou dans les favelas, au Brésil. Lors des actions de collage, les communautés participent au processus artistique. Au Brésil par exemple, des enfants se transforment en artistes pour une semaine. Dans ces actions artistiques, aucune scène ne sépare les acteurs des spectateurs.

Après les expositions locales dans les villes dont sont originaires les sujets de JR, les images voyagent de New York à Berlin, d’Amsterdam à Paris, et chacun peut les interpréter à la lumière de ses propres expériences.

L’anonymat de JR et l’absence d’explication accompagnant ses immenses portraits lui permet de laisser un espace libre pour une rencontre entre un sujet/acteur et un passant/interprète, ce qui constitue l’essence de son œuvre.
.
.
.
.
.
.
.
source: lasblogenpuntoblogspot

JR, el denominado fotógrafo clandestino. Un artista que transforma sus cuadros en carteles y hace que el espacio abierto de las calles se convierta en una increíble galería de arte.

JR es un agudo observador de nuestra época, que se siente igual de cómodo en barrios acogedores como en guetos urbanos, y que trata de incitar al espectador a la reflexión con sus proyectos expositivos -que habitualmente giran en torno a situaciones comunes en nuestra sociedad-.

Utilizando una cámara que encontró una vez en el metro, JR se ha convertido en un referente de la fotografía europea, tanto por el carácter impulsivo de sus propuestas, como por su enorme espectacularidad.

A partir de 2001, comenzó a dirigir su cámara hacia una serie de comunidades urbanas -escritores, breakdancer, freestylers, …- y trabajó con actores y músicos muy conocidos como Vincent Cassel, IAM o la Gotan Project.

A partir de 2004, ha estado trabajando en el proyecto 28 milímetros, cuya primera parte “Retrato de una generación” le hizo ser portada del New York Times.

Actualmente, sus cuadros comienzan a venderse en el Hotel Drouot de París, pero a pesar de su éxito mantiene la planificación de exposiciones no autorizadas con fotografías de gran tamaño, como en Roma o en Wuppertal (Alemania).

Actualmente sigue trabajando en el proyecto 28 milímetros, captando imágenes en Medio Oriente y Brasil.

La tercera fase titulada “Las mujeres son héroes”(a la que corresponde el tráiler que adjunto en el post), gira en torno a diferentes zonas en conflicto de África – como Sierra Leona y Liberia-, y trata de reflejar en imágenes la situación de la mujer africana, con la que comparte sus historias dolorosas, dando testimonio al mismo tiempo de su deseo de vivir.
.
.
.
.
.
.
.
source: 1001unicorns

Als in der spanischen Hafenstadt Cartagena alte Wohnhäuser abgerissen werden sollten um Bürogebäude hochzuziehen, tauchten dort plötzlich riesige Portraits der ältesten, aus ihren Wohnungen vertriebenen Einwohner an den Fassaden auf.

Das war eindeutig die Handschrift von JR, einem französischen Fotograf, der bereits ähnliche Aktionen in den armen Pariser Randbezirken und später auch in der Innenstadt gestartet hatte.

JRs großformatige Fotos ausdrucksstarker Gesichter sind unverwechselbar. Er selbst spricht davon, das wahre Gesicht der Welt zeigen zu wollen. Und das gelingt ihm unglaublich gut.

Zuletzt bewies er das eindrucksvoll mit seinem Film “Women Are Heroes“, einer Dokumentation über starke Frauen, die in afrikanischen, südamerikanischen und asiatischen Slums leben.

JR erweckt die Gesichter dieser Frauen, die eigentlich innerlich tot sein müssten, im larger-than-life-Format zum Leben. Frauen, die morgens ihre Kinder tot im Müll fanden oder wiederholt vergewaltigt wurden.

Als diese Fotos die Pariser Louis Philippe Brücke zierten, erregte das – wie immer bei Street Art – nicht nur positives Aufsehen. Die Reaktionen der Menschen zeigen, dass JR es auf sehr geschickte Weise versteht, Ästhetik und Störfaktoren zu verbinden (siehe DOKU). In der Hinsicht steht er Stencil-Künstlern wie Banksy in nichts nach.

Völlig zurecht hat JR für seine Arbeit den TED Prize 2011 gewonnen und das zum Anlass genommen, gemeinsam mit TED ein neues Projekt zu starten:
“Use art to turn the world inside out” ist das Motto des inside out project, einer Crowdsourcing-Kunst-Aktion, an der jeder teilnehmen kann, der im JR Stil ein Stückchen der Welt verändern möchte. Und sei es auch nur ein Quadratmeter Wand.

Auf der Website zum Projekt kann man sehen, wie viele Menschen bereits mitmachen. Und wie viel Kreativität und Motivation ein einzelner Mensch – weltweit – auslösen kann. Ein Mensch, den viele nur als “kriminellen Idioten” wahrnehmen, der es gewagt hat, die Pariser Louis Philippe Brücke zu verunstalten…
.
.
.
.
.
.
.
source: blogcontemporarytorinopiemonteit

Le sue fotografie sono talmente grandi che puoi vederle bene anche dallo spazio con Google Earth.
Donne, uomini, bambini. Volti che rappresentano la memoria delle città e l’identità delle persone che le vivono.
Occhi. Tanti occhi che guardano il mondo.

Molti lo hanno nominato artista dell’anno.
Ha in comune con Bill Clinton e Bono Vox il TED Prize. Le sue idee sono quindi “degne di essere diffuse”, stando ai requisti necessari per aggiudicarsi il famoso premio.
Il suo nome d’arte è JR, artista francese avvolto da un alone di mistero identitario.
Parla di tutti, ma quasi mai di se stesso.
Non si considera né uno street artist, né un fotografo. “Io attacco poster”, risponde alle interviste.

Tutti invece parlano di lui e lo fanno più o meno a partire dal 2004, quando con la sua 28 mm fotografa i volti del ghetto, ritratti di “teppisti” suburbani pubblicati in formato enorme nei quartieri borghesi di Parigi. Portrait d’une Génération verrà poi ufficializzato dal Municipio di Parigi che avvolgerà il proprio edificio con i suoi ritratti.

Prosegue con Face2Face, un progetto che nel 2006 lo porta in Medio Oriente insieme a Marco (Marc Berrebi). Visitano otto città israeliane e palestinesi, immortalando medici, scultori, barbieri e religiosi che accettano di prestarsi al gioco. Il sorriso domina la scena, ma soprattutto entrambi i lati del muro di separazione. Come abbia fatto, chi lo sa. I media ci terrorizzano sempre, lui si limita a stupirci. Sarà stato merito dell’obiettivo 28 mm: “Ti permette di lavorare anche a dieci centimetri dalla persona fotografata. Fino a sentirne il respiro“.

Il segreto è il legame. Sì, attacca poster, ma prima di farlo, ci entra davvero in quello che farà e la gente questo lo sa. Come sa anche che quei poster non finiranno in spazi asettici illuminati nel modo giusto e rivolti a un pubblico blaterante che gira l’oliva in un calice di cristallo, scrutando angoli acuti e ottusi.
Ogni opera segue la strada tracciata dal suo creatore. Le sue girano il mondo e si fermano all’aperto, nelle strade, sui muri, sui treni, sui tetti, sui campanili, sui ponti, sugli autobus, sulle scale.

Si riappropriano di spazi in per mostrarsi a chi non vuol vedere. Danno voce all’abbandono e alla marginalità degli spazi out.
Sottolineano l’inutilità di una barriera, esasperano i limiti, distruggono l’anonimato, difendono l’identità, creano facciate urlanti.
Proteggono, come gli occhi e i volti delle donne di Kibera (Kenia), che rendono impermeabili i tetti delle case del posto.

Women Are Heroes, nell’invisibilità, nella povertà, nei conflitti, nella violenza, nell’essenza, nel dolore. In Brasile, in Africa, in India, in Cambogia. La vita non è un film, ma a volte è necessario che lo diventi.

Tutti i posti hanno un volto, anche quelli a cui si decide arbitrariamente di non riconoscerlo.

Anche i posti invecchiano e non tutte le rughe meritano un restauro.

Le idee di JR sono più che degne di essere diffuse e il TED Prize, premio dal valore di centomila dollari, è già stato destinato a Inside Out, progetto artistico che prevede una partecipazione su scala globale. Stavolta però, ad essere protagoniste non saranno le foto di JR, ma le vostre. Quello che bisogna fare è realizzare ritratti fotografici in bianco e nero, immagini di persone da tutto il mondo che scoprono e svelano storie mai raccontate.
Da soli o in gruppo, la partecipazione è gratuita e aperta a tutti. Le immagini digitali possono essere caricate sul sito e saranno poi stampate su poster per essere esposte all’interno della propria comunità. Tutto sarà documentato e archiviato e potrà essere visitato virtualmente su internet.
Ci attende davvero la più grande e democratica mostra fotografica mai realizzata.