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KIDULT

Illegalize Graffiti

source: populicusartblogspot

Kidult es un veterano escritor de graffiti que vivió en NYC y luego se traslado a Paris. Es conocido principalmente por sus acciones callejeras en contra de las grandes marcas que comercializan el graffiti, marcas que lo usan para su beneficio convirtiéndolo en una moda.

Hay que decir también que Kidult poco apoco se está convirtiendo en una marca, de hecho creo que hasta vende ropa….

Actualmente en Madrid y alguna otra ciudad española se puede ver una gran similitud o prácticamente plagio de Kidult. Me refiero a acciones tales como quitar o modificar la publicidad de las marquesinas e intervenciones con extintor, con un discurso y modus operandi en ocasiones casi idéntico.

Para muchos o para la gran mayoría lo único que hace este personaje es vandalismo, a mí personalmente me encanta, y no hay que olvidar que el graffiti más puro siempre será reivindicativo, y en una parte vandalismo, aunque este no sea su fin ni su intención.

Numerosos escritores famosos han sido los que han colaborado en el diseño de campañas de marcas muy conocidas que han comercializado el graffiti, marcas tales como Kenzo, Supreme,Louis Vuitton, etc…

Kidult se vale de un extintor relleno de pintura y un gran manejo de este para dejarles un regalito a estas tiendas tan elitistas que se valen del graffiti para enriquecerse aun mas, a las cuales esta intervencion parece no hacerles mucha gracia. Tiendas donde probablemente los que compren estas colecciones ‘’graffiteras’’ no sepan ni lo que es un tag y se horroricen al ver graffiti.
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source: trendcoffeecc

Muita polêmica tem sido criada sobre Kidult, um homem que não tem sua identidade revelada e ‘grafita’ a fachada de várias grifes como Hermès, Louis Vuitton e Celinè nas cidades de Paris e Nova York.

Os atos de vandalismo, segundo Kidult, seriam na verdade uma manifestação usando sua arte contra as marcas que supostamente roubaram a cultura underground do skate e do grafite e a usam comercialmente, sendo ela urbana e não elitizada. A discussão sobre o assunto que rola na internet questiona se o que Kidult vem fazendo é correto, e se esses protestos nas fachadas são coerentes.

Quem toma posição elitista é o próprio Kidult que não esta considerando a moda como arte, e protesta contra o uso da referência skate nela. Só por esse fato já se mostrando ignorante e limitado, a moda sempre usou diversas referências, uma espécie de homenagem comercial; A moda assim como a cultura das ruas e do skate é linguagem e expressão.
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source: hypebeast

A number of high profile stores ranging from the NY Supreme store, Kenzo Paris, JC/DC, Agnès b, YSL and colette Paris has become favored destinations for Paris-born graffiti artist Kidult to invade and vandalize. Again, fueled by protest and adrenaline, Kidult is back on home turf by tagging up another famous store. This time, the Hermès store at Rue de Sevres felt the wrath of Kidult’s paint-filled extinguisher. The store was tagged with the word “LOVE” on the shop’s facades. Kidult has described his works as a combination of painting and poetry, but it is clear that some are not content with his act of “LOVE.”
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source: majdartunblogfr

Kidult, certains d’entre vous le connaissent déjà, pour les non initiés j’aimerai vous parler de cet ovni qui opère en sous-marin la nuit, quand les chats sont gris.

Kidult est un être underground, il sort la nuit et choisit ses proies ; les boutiques de luxe !

Reconnaissable avec son sweat à capuche noir, un extincteur rempli de peinture lui-même peint en noir, une tête de mort sur le visage, Kidult inscrit son blase à grands jets de couleur en lettres capitales sur les vitrines des grandes marques. Tel un pompier éteignant le feu, il tente de mettre fin à celui attisé par le consumérisme.

Ses victimes : Yves Saint Laurent, Colette, Jean-Charles de Castelbajac, agnès b., Louis Vuitton ou encore Hermès, où s’arrêtera t-il ?

“Toutes ces boutiques ont utilisé la culture du graffiti comme image commerciale. Ces marques aiment le graffiti. Je ne fais que leur donner ce qu’elles veulent.” KIDULT.

Dans sa démarche artistique, Kidult aspire à garder la créativité, l’honnêteté et l’impertinence d’un enfant, selon lui les artistes qui s’associent aux grandes marques sont des sellout – « des vendus ». Le Graffiti vient de la rue, sa pureté demeure au sein de cette dernière.

« L’efficacité est l’un des traits les plus importants dans les compétences d’un artiste graffiti. Partant d’une revendication j’envoie un message à tout le monde pour intellectualiser mon raisonnement en trouvant le meilleur endroit, pour être le plus efficace. » KIDULT

Kidult possède un large panel d’expression qui lui permet de dénoncer cette exploitation outrancière du graffiti par les boutiques de luxe, la photo ci-dessus présente son ‘interprétation de la campagne pub de la marque Supreme en modifiant le portrait de Kate Moss. Ils modifient les affiches de campagnes publicitaires qu’il remplace la nuit. et au petit matin, oh surprise ! Une nouvelle campagne by Kidult.

» Tous ces points de vente ont utilisé le graffiti comme un outil commercial pour gagner plus d’argent et être« cool », sans rien connaître de la street culture. » KIDULT

A son tour Kidult édite des T.Shirt en détournant les symboles des grandes marques, ci-dessous il appose la tête de mort sur le symbole de Chanel. Ces T.shirt sont édités en quantité restreinte, une cinquantaine d’exemplaires !

Par conséquent, Kidult semble pratiquer ce qu’il dénonce chez les grandes marques, à savoir la frustration d’un nombre limité d’une pièce originale.

De plus, en réutilisant les symboles de Chanel, Céline ou encore Supreme n’est-ce pas là une façon d’en faire la promotion. C’est belle et bien une collaboration entre Kidult et une grande marque même si cette dernière n’est pas consentie.