BARAKA KECAK
source: staticmassnet
With so many things that occupy our lives today, ranging from technology and finance to entertainment and celebrities, we rarely seem to take the opportunity to look at our beautiful planet and recognise just how incredible it is.
The movement of clouds, the gentle way a flower blossoms or the elegance of animals. They’re all part of rich and delicate balance, a stasis, an unending cycle.
Director and cinematographer Ron Fricke captures this so beautifully in Baraka, a film that plays on contrasts. It juxtaposes the ancient with the modern, presenting us with a world that is natural and also one that relies on technology to keep it going. Baraka’s visuals are stunning and for the most part it’s like time travelling. There are places I never thought still existed today and cultures that are still thriving far away from our machined lifestyles. It’s breathtaking.
Early on in the film Fricke shows us a snow monkey sitting quietly in the Nango Springs in Japan. There are others around him, but the camera stays on him, sometimes his eyes are closed, sometimes open.
He’s in a state of bliss; his peaceful face cannot be disputed. He’s a creature existing in harmony with his surroundings.
The ancient cities and temples of India, where I imagine my ancestors are from but have never had the opportunity to visit, look the same as it probably did 3000 years ago. It’s a place untouched by time; there are no signs of modernity but it doesn’t give the impression that anything is lacking. Quite the opposite really, it seems like a place where everything you could ever need is there.
From there Fricke goes on to show us Tibetan monks meditating, Orthodox Jews at the Wailing Wall and Whirling Dervishes. Does Fricke want us to consider religion and rituals and what they give us emotionally and spiritually? He also draws our attention to body art, tattoos, face painting and tribal head wear.
The music in Baraka is central to the story that’s being told with the visuals. Composed by Michael Stearns and Dead Can Dance, the pieces are ambient, ethereal and utterly haunting, increasing the emotional impact of what we’re watching.
As much as I am stirred by the scenes of ancient temples and misty mountains, there’s one particular segment which really stands out for me. The Host Of Seraphim. Before I had ever heard of Baraka or Dead Can Dance, it was this music video I saw late one night on Onyx and it was truly unforgettable. So much suffering, yet in the faces and actions of the people shown I see love, humility and the need to protect their young; to cover them with shelter, feed them and lighten their.
The Host Of Seraphim left a feeling in my heart I’ve carried since then. The young boy riding on a bicycle with his father could have been me with another toss of the dice. This was how I first discovered Baraka.
In a similar way to Koyaanisqatsi (1982), this wordless masterpiece leads us to ask questions about our relationship with nature and civilisations that have been here longer than our present one. It depicts us in a frantic race toward something but never questioning what it is; we just know we have to reach it. What part of ourselves we might lose in the process? And what part of the world, its history and its soul?
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source: athinoramagr
Αμερικανική ταινία, σκηνοθεσία Ρον Φρικ
Η σχέση του ανθρώπου με το περιβάλλον μέσα από εκθαμβωτικές σκηνές από τελετουργίες φυλών της Ασίας και Αφρικής ή εικόνες σε γρήγορη κίνηση που αποτυπώνουν το φρενήρη ρυθμό της καθημερινότητας. Ντοκιμαντέρ χωρίς σχόλια και διαλόγους στα πρότυπα του “Kογιανισκάτσι”.
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source: hdarsivi
“Baraka”, kelimelerle zor tarif edilebilen, gercek anlamda ‘gorsel’ bir film. “Baraka”‘da konusma yok, “Baraka”da standart bir olay orgusu yok. Sadece buyuk metropollerin ve mistik dogu’nun gizemli resimleri var. Binbir turlu sinemasal atraksiyonla kotarilan ve surekli calan muzik esliginde seyirciye sunulan “Baraka”, bizleri kimi zaman Japonya’nin kalabalik yerlesim birimlerindeki kargasaya ortak ediyor, kimi zamansa sufi torenlerine goturuyor. Acilisinda, yasli bir maymunun huzunlu bakisiyla sizi etkileyecek olan “Baraka”, yedinci sanatin teknik anlamda ulastigi noktayi gostermekle kalmiyor, ayni zamanda bizlere icinde yasadigimiz ‘gelismis-sanayii toplumu’ndan insan manzaralari sunuyor.
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Il y a des trouvailles miraculeuses comme celle-ci que l’on ne peut que faire partager à d’autres personnes. J’ai découvert Baraka quand j’ai eu la chance de regarder The Fall de Tarsem Singh, chroniqué précédemment sur Planète HD. En fait, c’est en lisant un article à propos de The Fall qui mentionnait la parenté évidente entre le film de Tarsem et celui de Ron Fricke : Baraka. Puis les articles sur ce film ce sont enchainés sur le net, au point de créer un mini-buzz (tout le monde parle de Baraka depuis, moi y compris ). Car ce film, datant de 1992 tout de même, vient d’atterrir sur une galette bleue du plus bel effet et via une restauration en 8k s’il vous plait, ce qui constitue une première dans le monde de la haute déf. (c’est à dire avec une définition 4 fois supérieure à de la HD “normale”).
Autant vous dire tout de suite que nous somme en présence d’un évènement de taille. En plus le film/documentaire est juste une tuerie, une révélation que dis-je, une véritable fenêtre sur notre planète et ces animaux étranges qui vivent dessus : nous.
Ron Fricke est réalisateur et chef-opérateur (le terme classe pour désigner le directeur photo d’un film). Il a réalisé le premier volet d’une trilogie de documentaires visuellement révolutionnaires pour l’époque : Koyaanisqatsi (1982) et qui sera accessoirement produit par Francis Ford Coppola himself, le dernier opus sera, quand à lui, produit par Steven Soderbergh. Les deux films suivants, Powaqqatsi (1988 ) et Naqoyqatsi (2002) seront réalisés par Godfrey Reggio. Ces films constituent ce qu’on appelle maintenant La Trilogie des Qatsi.
Ron Fricke n’est pas seulement réalisateur et chef op. mais également un vrai technicien. C’est ainsi qu’il a conçu lui-même sa propre caméra 70mm pour réaliser Baraka et ses autres projets. Il fut également le premier à utiliser le “time-lapse”, une technique reprise depuis dans beaucoup de clips (comme dans le clip de Madonna “Ray Of Light”), films etc…
Baraka est un mot qui nous vient de la langue ancienne, le Sufi, et peut être traduit comme “le souffle de la vie”, “bénédiction”, “respiration” où l’essence de la vie d’où découle le processus de l’évolution”.
Nous sommes donc en présence ici d’un documentaire sauf que c’est encore plus fort que n’importe quel documentaire que vous ayez pu voir (oui, encore plus fort que la série de documentaire Planet Earth de la BBC).
Il n’y a pas de narration sur le film de Fricke, juste de la musique. La parole est ici complètement inutile de toute façon. Tout passe donc par le montage et les images sublimes captées dans 24 pays de notre magnifique planète.
La musique de Michael Stearns, Dead Can Dance et de Monks of the Dip Tse Chok Ling Monastery vient amplifier de manière exponentielle l’émotion que l’on peut ressentir en regardant cette oeuvre. Ron Fricke ne juge pas, il constate. Car même si il n’y a pas de trame scénaristique dans le métrage, il est impossible de passer à côté des messages qu’il souhaite nous délivrer. On verra souvent la spiritualité (fabuleuse scène d’ouverture avec le moine bouddhiste) en face du “top” de notre civilisation moderne filmé en time-lapse et qui nous montre tels des souris/hamsters en hyper activité dans une cage, celle que nous nous sommes construit dans nos mégalopoles modernes. Puis c’est le calme des décors naturels somptueux et effrayants à la fois qui vous saisira d’un seul coup. Cependant, il nous arrache parfois violemment de notre contemplation qui pourrait passer pour du voyeurisme new-age-post-baba (en nous balançant sèchement sur des images des camps fermés à Auchwitz par exemple).
Vous l’aurez compris, ce n’est pas parce que c’est joli à regarder que nous sommes arrivés au royaume de Bisounoursland. Rien n’est jamais trivial dans le film de Fricke . Baraka est un film sur la vie mais également sur la mort.
Cruelle est la réalité de notre planète qui juxtapose justement beauté et horreur, vie et mort. Et ça Fricke nous le montre de façon brillante sans avoir à passer par une culpabilisation stérile.
Il faut donc regarder ici, avec les yeux, avec l’esprit et surtout avec le coeur car Baraka est un film à dimension humaine avant toute autre chose.
24 pays en 92 minutes c’est dense mais pas assez long. On aurait adoré voir un film de 3 heures.
J’ai rarement été aussi impressionné par un documentaire. L’expérience est au-delà des mots et quand elle se fait par le biais d’une telle restauration, on ne peut que s’incliner.
A ce stade là, c’est plus qu’un coup de coeur en ce qui me concerne, Baraka devrait être considéré d’utilité publique et remboursé par la sécu. En d’autre terme, ne vous privez pas de Baraka car ce genre d’expérience est très rare à vivre au cinéma..
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source: euforiacerebralblogspot
Documental filmado en 24 países que narra, en términos eminentemente visuales, aurales y musicales, la evolución de la Tierra y de la Humanidad, al mismo tiempo que señala las formas en que el ser humano se ha relacionado con su medio ambiente. La aparente fragilidad de la vida humana es contrastada con la grandeza de sus obras, al mismo tiempo que se subraya la desigual relación entre hombre y naturaleza. En medio de estos contrastes, la espiritualidad de la humanidad surge como el elemento más importante que la distingue de otras especies.
[editar] Reseña
“Baraka” se inserta en la nueva tradición del documental, cuyas obras importantes incluyen a “Koyaanisqatsi” (1983) y “Powaqqatsi” (1988) del estadounidense Reggio y la más reciente “Microcosmos” (1996) de los franceses Claude Nuridsany y Marie Pérennou. Todas estas cintas concentran su poder narrativo en una mezcla, aparentemente casual, de imágenes, música y sonidos naturales o artificiales. Asimismo, comparten una visión propia de los umbrales de un nuevo siglo: la reflexión sobre las complejas relaciones que los seres humanos hemos establecido con la naturaleza y con los medios ambientes que hemos creado.
El título de “Baraka” proviene de la palabra de origen Sufi -una comunidad religiosa islámica- que significa “aliento de vida”. A partir de esta premisa, la mancuerna integrada por el director Fricke y el productor Magidson crearon un poema visual místico de proporciones globales. Carente de palabras y con una línea temporal fragmentada, ‘”Baraka” es un filme que lo mismo comenta acerca de la santidad que del materialismo, en una escala íntima, muy cercana a las emociones de los espectadores.
La música se ha constituído en elemento esencial de la nueva tradición documental y la banda sonora de “Baraka” no es la excepción. Las composiciones de Michael Stearns contribuyen a aumentar la intensidad con que se perciben las imágenes de la cinta, proporcionando al espectador una experiencia casi extra-sensorial.
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source: arabdz
فيلم وثائقي لا يحوي على تسلسل أحداث معين ولكن يعكس مناظر خلابة من الطبيعة في عواصم شهيرة وحتى مدن نائية.. بعض المناطق العربية والإسلامية المصوّرة تحوي القدس ، مصر ، الكويت ، السعودية ، تركيا ، إيران ، إندونيسيا إلخ…. الفيلم بمثابة تحفة فنية للحاسة البصرية .
في كل لقطه .. هناك فكرة .. و سؤال … و استنكار أحيانا عجايب الدينا .. و المفارقات العجيبة … و الجمال الكوني … والدمار البشري .
يعكس واقع الشعوب عم 1992.
الفيلم بدون حوار ، لن تسمع كلمة واحد بأي لغة ، كذلك لا توجد حبكة درامية و لا توجد شخصيات ، لا وجود ل “قصة” في هذا الفيلم.
بركة هو واحد من مجموعة أفلام تم إنتاجها في ثمانينيات و تسعينيات القرن الماضي ، بشكل عام تشترك الأفلام كلها في ما ذكرت سابقا ، لا حوار و لا شخصيات ، فقط لقطات من جميع بلدان العالم لتؤدي رسالة واحدة في نهاية الفيلم ، قد تكون لا للحروب ، قد تكون لا للفقر ، او تصور لتطور الحياة على سطح الأرض.
بركة هو أكثر هذه الأفلام نضوجا ، مصور بكاميرات 70 ملم ، و كانت النتيجة صور بالغة النقاء و الجودة ، تحكي قصة الإنسان ، في الفيلم سنجد مشاهد كثيرة من بلدان العالم ، سنتعجب مع كل مشهد من غزارة الثقافات و تعددها على كوكبنا ، و سيبهرنا الخيط الرفيع الذي يربط بين كل المشاهد ، ربما هو الموت ربما الحروب ، ربما العادات المختلفة للسكان الأصليين.
سنرى مشاهد من الطبيعة ، كسوف كلي للشمس في فيلم خال تماما من الحوار و من أي أصوات ماعدا الأغاني القبلية لسكان او استراليا الأصليين ، تصبح الموسيقى عامل أساسي ، موسيقى الفيلم وحدها تستحق جائزة ، التناغم بين الموسيقى الرائعة و مشاهد الفيلم جزء أساسي من نجاح الفيلم
رسائل الفيلم لنا كثيرة ، على الرغم من تشابهنا كبشر إلا أننا مختلفون في الأفكار ، في العادات و في المعتقدات ، نحن نحشر أنفسنا في مكان
ضيق و قبيح ، على الرغم من وجود كوكب بكامله لنا وحدنا ، وعلى الرغم من ضخامة هذا الكوكب فاننا نحارب بعضنا طمعا في قطع صغيرة جدا من هذا الكوكب ، نحن المخلوق الوحيد الذي يقتل مثيله في الجنس ، نحن المخلوق الوحيد الذي يعذب كافة المخلوقات على الأرض ، نحن نبنى الحضارة لندمرها.
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source: hdmagcz
Ron Fricke stál v roce 1983 za kamerou při natáčení filmu KOYAANISQATSI. Tato první část cyklu režiséra Godfreye Reggia a hudebního skladatele Philipa Glasse zachytila umělecky výjimečnou formou obraz industrializovaného amerického kontinentu. Druhou částí zamýšlené trilogie bylo POWAQQATSI (1988), fascinujícím způsobem ztvárňující krásu a ošklivost Třetího světa.
Oba filmy spojovala experimentální forma; výtvarně působivé záběry byly střihem a triky rytmizovány v souladu či v kontrastu k minimalistické hudbě. Obrazová a zvuková patetičnost obou filmů se podřizovala jejich hlavní myšlence: ukázat ohroženou krásu naší planety a přispět k její záchraně.
Struktura filmu BARAKA je však odlišná: záběry, natočené v průběhu 14 měsíců ve 24 zemích světa, směšují formu i obsah předchozích filmů, nedosahují však přitom jejich účinnosti. Snímek připomíná spíše oživlý National Geographic: akademicky přesné obrázky, působivě nasnímané scenérie exotických zemí a trikové záběry známých míst tvoří album, v němž za sebou následují do větších celků spojené sekvence.
Blok přírodních krás střídají náboženské obřady všeho druhu, v kontrastu k myšlenkové závažnosti těchto obrazů následuje část věnovaná devastaci zemského povrchu a „civilizaci“ jejího obyvatelstva. Bezproblémový tok zajímavých obrázků je doprovázen stejně bezproblémovou elektronickou hudbou, občas oživenou vpádem reálných zvuků.
Stejně jako Reggio vybral si i Ron Fricke jako název filmu slovo z jazyka přírodního národa: baraka znamená v nářečí kmene Sufi štěstí, vůni, dech, ale i „esenci života, z níž pramení evoluční vývoj“.
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source: mundocogumelowordpress
“Baraka é um documentário que parte de uma antiga palavra com significados em várias línguas. Pode ser traduzida como benção, sopro ou essência da vida, de onde se desencadeia o processo da evolução do mundo. O filme revela o quanto a humanidade está interligada, apesar das diferenças de religião, cultura e língua dos povos. Um verdadeiro poema visual sem narração ou legenda, somente imagens e sons cuidadosamente capturados e articulados através de uma montagem expressiva, o que faz com que cada tomada adicione a próxima outro significado, cujo tema é… Afinal, do que se trata Baraka? Acredito que cada espectador do filme veja um tema diferente. Ele pode ser sobre a força do planeta Terra. Pode ser sobre as múltiplas diversidades que nos unem. Pode ser muita coisa.
Baraka é uma reprodução visual da ligação humana com a Terra”