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ANGELIN PRELJOCAJ

AND THEN, 1,000 YEARS OF PEACE

ANGELIN PRELJOCAJ

source: archiv2berlinerfestspielede

Angelin Preljocaj’s new creation continues his investigation of themes like mythology, religion and the rites of the everyday. The performance is a collaboration between his own company and the Bolshoi Theatre and will examine the Apocalypse in the original sense of the word, meaning »uncovering« [from the Greek »apo« meaning »away« and »kaly-ptein« meaning »sail«]. Preljocaj wishes to reveal what is hidden behind our contemporary rituals.
The French choreographer with Albanian roots will be supported by a remarkable artistic team: Subodh Gupta, one of India’s leading international artists – renowned for his sculptures which turn everyday objects into cult objects – is responsible for the set. The music comes from Laurent Garnier, one of the major names in techno music who has brought a sense of trance back to the dancefloor, like a modern ritual, an avant-garde ceremony with ancient roots. Igor Chapurin, a rising star in the Russian fashion world and a long-time collaborator with the Bolshoi Theatre, is responsible for costumes.
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source: archiv2berlinerfestspielede

In seiner neuen Kreation wird Angelin Preljocaj die Erforschung von Themen wie Mythologie, Religion und Riten des Alltags fortsetzen. Das Stück ist eine Zusammenarbeit seiner Compagnie mit dem Bolschoi-Theater und wird sich mit der Apokalypse beschäftigen, wobei Preljocaj von der ursprünglichen Bedeutung dieses Wortes – »Enthüllung« [von griechisch »apo«, weg-, und »kalyptein«, Segel] – ausgeht. Preljocaj will also offen legen, was sich hinter unseren gegenwärtigen Ritualen verbirgt.
Unterstützt wird der französische Choreograf mit albanischen Wurzeln dabei von einem außergewöhnlichen künstlerischen Team: Subodh Gupta, einer der international renommiertesten indischen Künstler – bekannt für seine Skulpturen, die Alltagsgegenstände in Kultobjekte verwandeln – ist für das Bühnenbild verantwortlich. Die Musik stammt von der französischen Techno-Größe Laurent Garnier, der das Gefühl von Trance als ein modernes Ritual, eine Art Avantgarde-Zeremonie mit uralten Wurzeln, auf die Tanzbühne zurückbrachte. Der aufstrebende russische Modeschöpfer Igor Chapurin, den eine lange Zusammenarbeit mit dem Bolschoi-Theater verbindet, ist für die Kostüme zuständig. Mit einem Ensemble, das jeweils zur Hälfte aus Tänzern des berühmen Moskauer Balletts und des Ballet Preljocaj besteht, wird Angelin Preljocaj seine Kreation nach der Uraufführung in Moskau in Berlin präsentieren, wo er bereits zum zweiten Mal zu Gast bei spielzeit’europa ist.
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source: arts-appliquesac-versaillesfr

C’est dans le cadre de l’année France-Russie qu’Angelin Preljocaj a créé cette pièce pour 20 danseurs, issus pour moitié de sa propre compagnie et de celle du fameux ballet du Bolchoï. Deux groupes d’interprètes très différents mais réunis par une même référence, l’Apocalypse de Saint-Jean et le thème de la révélation, et tous au service d’une gestuelle épurée et instinctive.

Une création à découvrir dans l’écrin magnifique de l’Opéra Royal de Versailles, totalement restauré, qui fût le lieu de divertissement du roi Louis XV.
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source: preljocajorg
Né en France en 1957, de parents albanais, Angelin Preljocaj débute des études de danse classique avant de se tourner vers la danse contemporaine auprès de Karin Waehner.

En 1980, il part pour New York afin de travailler avec Zena Rommett et Merce Cunningham, puis continue ses études en France auprès de la chorégraphe américaine Viola Farber et du français Quentin Rouillier.

Il rejoint ensuite Dominique Bagouet jusqu’à la création de sa propre compagnie en décembre 1984. Il a chorégraphié depuis 48 pièces, du solo aux grandes formes.

Angelin Preljocaj s’associe régulièrement avec d’autres artistes parmi lesquels Enki Bilal (Roméo et Juliette, 1990), Goran Vejvoda (Paysage après la bataille, 1997), Air (Near Life Experience, 2003), Granular Synthesis (« N », 2004), Fabrice Hyber (Les 4 saisons…, 2005), Karlheinz Stockhausen (Eldorado – Sonntags Abschied, 2007), Jean Paul Gaultier (Blanche Neige, 2008), Constance Guisset (Le funambule, 2009, Les Nuits, 2013), Claude Lévêque (Siddharta, 2010), Laurent Garnier et Subodh Gupta (Suivront mille ans de calme, 2010), Laurent Mauvignier (Ce que j’appelle oubli, 2012), Azzedine Alaïa et Natacha Atlas (Les Nuits, 2013)…

Ses créations sont reprises au répertoire de nombreuses compagnies, dont il reçoit également des commandes, c’est le cas notamment de La Scala de Milan, du New York City Ballet et du Ballet de l’Opéra national de Paris.

Il a réalisé des courts-métrages (Le postier, Idées noires en 1991) et plusieurs films, notamment Un trait d’union et Annonciation (1992 et 2003) pour lesquels il a reçu, entre autres, le « Grand Prix du Film d’Art » en 2003, le « Premier prix Vidéo-danse » en 1992 et celui du Festival de Vidéo de Prague en 1993. En 2009, il réalise le film Blanche Neige et en 2011 il signe, pour Air France, le film publicitaire L’Envol, qui reprend la chorégraphie du Parc.

Il a également collaboré à plusieurs réalisations cinématographiques mettant en scène ses chorégraphies : Les Raboteurs avec Cyril Collard d’après l’œuvre de Gustave Caillebotte en 1988, Pavillon Noir avec Pierre Coulibeuf en 2006 et Eldorado / Preljocaj avec Olivier Assayas en 2007.

Plusieurs ouvrages ont été édités autour de son travail, notamment Angelin Preljocaj en 2003, Pavillon Noir en 2006, Angelin Preljocaj, Topologie de l’invisible en 2008 et Angelin Preljocaj, de la création à la mémoire de la danse en 2011.

Au cours de sa carrière, il a reçu plusieurs reconnaissances parmi lesquelles le « Grand Prix National de la danse » décerné par le Ministère de la culture en 1992, le « Benois de la danse » pour Le Parc en 1995, le « Bessie Award » pour Annonciation en 1997, « Les Victoires de la musique » pour Roméo et Juliette en 1997, le « Globe de Cristal » pour Blanche Neige en 2009. Il est Officier des Arts et des Lettres, Chevalier de la Légion d’honneur et a été nommé Officier de l’ordre du Mérite en mai 2006. Il a reçu le « Prix Samuel H. Scripps » de lʼAmerican Dance Festival pour lʼensemble de son œuvre en 2014.

Aujourd’hui composé de 24 danseurs permanents, le Ballet Preljocaj est installé depuis octobre 2006 au Pavillon Noir à Aix-en-Provence, un lieu entièrement dédié à la danse dont Angelin Preljocaj est le directeur artistique.

Sa prochaine création Retour à Berratham sera présentée au Festival d’Avignon du 17 au 25 juillet 2015.
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source: preljocajorg

1985 : naissance de la compagnie
Créée en décembre 1984, la Compagnie Preljocaj devient Centre Chorégraphique National de Champigny-sur-Marne et du Val-de-Marne en 1989.

En 1996, elle est accueillie à la Cité du Livre à Aix-en-Provence et devient Ballet Preljocaj – Centre Chorégraphique National de la Région Provence-Alpes-Côte-d’Azur, du Département des Bouches-du-Rhône, de la Communauté du Pays d’Aix, de la Ville d’Aix-en-Provence.
Une renommée internationale

Le Ballet Preljocaj est aujourd’hui constitué de 26 danseurs permanents, plus de 100 représentations par an sont effectuées en France comme à l’étranger. Depuis la création de sa compagnie, Angelin Preljocaj a créé 45 chorégraphies, du solo aux grandes formes.

Angelin Preljocaj s’associe régulièrement avec d’autres artistes parmi lesquels Enki Bilal (Roméo et Juliette, 1990), Goran Vejvoda (Paysage après la bataille, 1997), Air (Near Life Experience, 2003), Granular Synthesis (« N », 2004), Fabrice Hyber (Les 4 saisons…, 2005), Jean Paul Gaultier (Blanche Neige, 2008), Constance Guisset ( Le funambule, 2009)…

Ses créations sont reprises au répertoire de nombreuses compagnies, dont il reçoit également des commandes. C’est le cas notamment de La Scala de Milan, du New York City Ballet, du Staatsoper de Berlin et du Ballet de l’Opéra national de Paris.

Une implantation locale
Outre la diffusion de ses pièces dans le monde entier, le Ballet Preljocaj multiplie les actions de proximité à Aix-en-Provence et dans la région afin de faire découvrir la danse au plus grand nombre : lectures, vidéodanse, répétitions publiques, stages et ateliers de pratique, interventions dansées dans l’espace urbain… un dispositif complet a été mis en place pour permettre au public de voir la danse autrement.

2006 : l’ouverture d’un lieu pour la danse à Aix-en-Provence
En octobre 2006, le Ballet Preljocaj a investi son nouveau lieu conçu par l’architecte Rudy Ricciotti : le Pavillon Noir, premier centre de production construit pour l’activité qu’il abrite où les artistes peuvent mener leur processus de création en intégralité, du travail en studio à la représentation sur scène.

Dans son Théâtre et ses quatre studios, des rencontres et des spectacles de danse sont proposés toute l’année : ceux d’Angelin Preljocaj et de compagnies invitées.
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source: northrop
France’s leading contemporary ballet company, Ballet Preljocaj, (pronounced prezh-oh-kahzh) performs a romantic and contemporary retelling of Snow White (Blanche Neige), based on the Grimm brothers’ original fairytale, with Preljocaj’s personal variations based on an analysis of symbolism. This lush, full-length story ballet by French choreographer, Angelin Preljocaj, features massive sets, 26 dancers, and an all-star roster of French artists and designers including the magnificent excesses of Gustav Mahler symphonies, magical sets by Thierry Leproust, and costumes by legendary Jean Paul Gaultier. The characters’ bodies are transcended by Preljocaj’s signature choreography to demonstrate space, energy, and ultimately feelings, using inventive gestures, clever substitution, and even pirouetting, wall climbing dwarves of acrobatic distinction.