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GUY DESSAUGES

GUY DESSAUGES

source: realwowznet

Prefabricated housing design by Guy Dessauges, From the vaults of ancient caves and Roman art, the concept has remained mis-path. A half circle. The roof is resistant to pressures much larger than the flat ceiling. For the same quality materials. He wondered why, he could not use the cylinder to build a home. The only problem was the cylinder diameter. He had to have a diameter large enough to install two floors. The idea crystallized in ten minutes. He built a model and characters wide. Both formats have emerged fairly quickly. The diameter of 6 meters and the 8 meters. These two diameters suitable for a human being 180 cm. By manufacturing many models he was thinking the advantages and disadvantages of the cylindrical shape. he discovered pretty quickly that he should consider the benefits. Another advantage if he turned the cylinder itself, the whistle gave shade to the front. In a jiffy, he had several solutions.
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source: realwowznet

Prefabricated housing design by Guy Dessauges, From the vaults of ancient caves and Roman art, the concept has remained mis-path. A half circle. The roof is resistant to pressures much larger than the flat ceiling. For the same quality materials. He wondered why, he could not use the cylinder to build a home. The only problem was the cylinder diameter. He had to have a diameter large enough to install two floors. The idea crystallized in ten minutes. He built a model and characters wide. Both formats have emerged fairly quickly. The diameter of 6 meters and the 8 meters. These two diameters suitable for a human being 180 cm. By manufacturing many models he was thinking the advantages and disadvantages of the cylindrical shape. he discovered pretty quickly that he should consider the benefits. Another advantage if he turned the cylinder itself, the whistle gave shade to the front. In a jiffy, he had several solutions. voicesofeastanglia

For a long time architect and artist Guy Dessauges had an obsession. Preoccupied as he was by the fact that our predecessors, including the Romans, often lived in semi-cylindrical shaped buildings (caves being a good example) he wanted to take it to the next level and design completely cylindrical buildings.

Much of his time during the 1960s was spent working on drawings and scale models of these buildings but despite an almost obsessive dedication to the cause none of his work ever saw the light of day and eventually he reluctantly gave up his one-man crusade and went back to the day job to pay some of his outstanding bills.
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source: artactif

Guy Dessauges est né en 1924 à Lausanne, fils d’un père suisse, juriste, et d’une mère arménienne pianiste. Après des études mouvementées, il entre à l’école des Beaux-Art de Lausanne en 1940 et y reste jusqu’en 1945.
En 1946 il séjourne à Paris, à l’Atelier du Vrais du peintre Cheney à Montparnasse. Puis il fréquente l’Académie de la Grande Chaumière chez Othon Friesz. Sa peinture est dans un style post-impressionniste dans les tons noirs, blanc et rouge.
De retour à Lausanne il travaille à des projets de stands pour des foires commerciales.
En 1949 il s’installe à Berne sur les conseils de son père qui y est établi depuis quelques années.
Guy Dessauges s’intègre facilement aux groupes artistiques de la Capitale, Berne étant une ville très francophile.
Il se lie d’amitié avec les peintres Luigi Crippa, Franz Fédier, Meteth Oppenheim, Martin Lauterburg, Serge Brignoni, et aussi avec Arnold Rüdlinger directeur de la Kunsthalle de Berne, qui l’encourage sans restriction.
En 1951 et 1952, Guy Dessauges reçoit, deux fois huit mois, une bourse d’étude du Gouvernement Français. Il reste à Paris jusqu’en 1954. Ce séjour marque un grand changement dans sa peinture. Il rencontre l’Art Américain qui fait sa première apparition à Paris, représenté par Jackson Pollock, Sain Francis et Mark Tobey. Dessauges commence alors une série d’expériences dans l’esprit du tachisme. Dans son atelier de Montparnasse, il expérimente de nouvelles “textures” qui l’ aidaient à se libérer d’un certain académisme… C’est le début de la liberté technique et de l’exploration. De retour à Berne il est encouragé par A.Rüdlinger qui l’expose à la Kunsthalle avec un groupe d’artiste bernois.
Fin 1954, Guy Dessauges va contribuer à la naissance de la Télévision Suisse à Zürich. En 1955 il est engagé comme chef décorateur au Studio de TV de Bellerive.
C’est le début d’une série d’expositions et de succès. En 1958 dans son atelier de la Villa Egli à Zürich, il commence à peindre de grands tableaux au pistolet sur de grands formats. Pour un décor de télévision, il peint un tableau au pistolet (Back-grund) de 27 mètres de long sur 4,50 de haut! ( Don Carlo, réalisé par Roger Burckhardt.)
Au bout de 12 ans de télévision, il démissionne, et travaille pour la firme Karl Steiner, entreprise de construction, comme projecteur designer. Il fait des projets pour des hôtels des restaurants des bars, en Suisse et en Hollande.
Sa peinture se modifie et son style s’approche de la peinture fantastique, dans l’esprit de la peinture expérimentale de Max Ernst. Recherches de nouvelles techniques, sur des fond métallisés, un nouvel usage de l’ancienne technique des glacis et plus de formes dessinées.
En 1994 après avoir lu le livre de Paul Radin, Kéréniy avec un commentaire de C.G. Jung. il peint une série de 80 tableaux ayant pour thème le “Divin fripon” légende mythique des Indiens Winnebago d’Amérique du Nord. Ils seront exposés à Herrliberg. en 1995 à la galerie Vogtei.
Depuis ce temps l’on retrouve dans chaque tableaux du peintre, un profil égaré du divin Fripon, signifiant la force aveugle et fondamentale de la nature.
Guy Dessauges a vécu à Herrliberg avec sa femme Anita . Il y a terminé le quatrième tome de ses mémoires écrit sur un ton humoristique, intitulés:”Le principe d’incertitude… Une vie d’artiste”.
Guy Dessauges est décédé en mars 2009.