highlike

HUGH KRETSCHMER

休克雷奇默尔
ХЬЮ КРЕЧМЕР
guggenheim

 

Décrivant son travail comme « une fusion de différentes influences absorbées depuis des années », l’artiste tire principalement ses inspirations des peintures et sculptures du XXIe siècle. Travaillées et colorées, ses œuvres humoristiques, cyniques et ironiques sont une véritable mise en scène du quotidien. Amateur de la juxtaposition et de ses manipulations virtuelles, l’artiste-sculpteur d’images, fait entrer le spectateur dans un tourbillon imaginaire façonné par sa main.

Theo Jansen

STRANDBEEST VOLE
Jansen a récemment compilé une collection de ses œuvres dans la vidéo ci-dessus, qui relate l’évolution de Strandbeest au cours des dernières années. Le montage encapsule des formes antérieures portant des voiles massives, des créatures ressemblant à des chenilles, et maintenant, des créatures ailées qui volent les pieds au-dessus du sol et témoigne du dévouement de l’artiste depuis des décennies à développer des œuvres réalistes.
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STRANDBEEST VOA
Jansen recentemente compilou uma coleção de seus trabalhos que narra a evolução do Strandbeest durante os últimos anos. A montagem encapsula formas anteriores carregando velas maciças, criaturas semelhantes a lagartas e, agora, criaturas aladas que voam pés acima do solo e é uma evidência da dedicação de décadas do artista.

Laurent Grasso

OttO (solo exhibition)
OttO (the film)
ether
Structured around a set of brand-new works and around the eponymous film, the exhibition interconnects sacred spaces, animistic beliefs and scientific theories. Each of these works concerns imperceptible and yet active phenomena that have in common the real or supposed effects of electromagnetic waves, vibrations and frequencies. Perrotin Paris

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éther

Structurée autour d’un ensemble d’œuvres inédites et autour du film éponyme, l’exposition interconnecte espaces sacrés, croyances animistes et théories scientifiques. Chacun de ces travaux concerne des phénomènes imperceptibles et pourtant actifs qui ont en commun les effets réels ou supposés des ondes électromagnétiques, des vibrations et des fréquences. Perrotin Paris

Aidan Meller

AI-DA
Ai-Da est le premier artiste ultra-réaliste au monde. Elle dessine en utilisant des caméras dans ses yeux, ses algorithmes d’IA et son bras robotique. Créée en février 2019, elle a eu sa première exposition solo à l’Université d’Oxford, « Unsecured Futures », où son art a encouragé les téléspectateurs à réfléchir à notre monde en évolution rapide. Depuis, elle a voyagé et exposé des œuvres à l’échelle internationale, et a eu sa première exposition dans un grand musée, le Design Museum, en 2021. Elle continue de créer de l’art qui remet en question nos notions de créativité dans une ère post-humaniste.

Antoine Catala

安托万·卡塔拉
Distant Feel
Antoine Catala répond à la très haute technicité des médias numériques actuels en s’aidant du lo-fi et de l’analogique. Parsemées d’humour et de jeux de mots qui dissimulent souvent une certaine gravité, ses œuvres s’enchaînent dans une continuité à la fois matérielle et conceptuelle et s’appuient aussi bien sur l’esthetique du projet de sciences que sur la sémiotique.

Jonas Vorwerk and Yoren Schriever

Pixel
Les œuvres qu’il crée introduisent souvent des chevauchements surprenants et ludiques entre le physique et le numérique dans l’espace public, où ils sont confrontés à un large public. Ses œuvres ne sont pas destinées à être présentées dans l’espace traditionnel du cube blanc, mais plutôt dans des rues bondées, des festivals en plein air ou des paysages ouverts où elles deviennent un sujet à diverses influences, où elles peuvent non seulement être regardées mais aussi touchées et jouées. L’élément de participation est en fait souvent inhérent à la conception des installations de Vorwerk, qui sont complétées par l’engagement du public. Leur caractère organique leur permet de changer continuellement et d’être toujours influencés par le contexte dans lequel ils sont placés.

TeamLAb

Transcending Boundaries

Transcending Boundaries vise à explorer le rôle de la technologie numérique dans la transcendance des frontières physiques et conceptuelles qui existent entre différentes œuvres d’art, avec l’imagerie d’une œuvre se libérant du cadre et pénétrant dans l’espace d’une autre. Les installations dissolvent également les distinctions entre œuvre d’art et espace d’exposition et impliquent le spectateur par l’interactivité.

Pierre Malphettes

la fumee blanche
Le travail de Pierre Malphettes est à l’image d’une de ses œuvres, il agit sur nous comme un attracteur étrange. En travaillant principalement des matières intangibles telles que l’air, la lumière, l’eau, ou bien encore des matériaux bruts, de construction (la bâche, le caillebotis), Pierre Malphettes matérialise des espaces mentaux qui évoquent le voyage, le parcours. La poésie naît d’un déplacement contrarié, impossible,

IEF SPINCEMAILLE

Clignotement inversé
Imaginez que votre tête soit capturée dans un appareil photo. Il fait complètement noir. Ce n’est que lorsque l’obturateur s’ouvre et se ferme que vous voyez le monde en un éclair. L’obturateur se déplace si vite que rien n’a le temps de bouger. Tout ce sur quoi vous pointez votre regard devient comme une photographie. Un souvenir. Quelque chose qui a été, mais qui n’est plus. Vous voyez les gens comme des personnages figés, des rues entières comme des moments intacts. La vie comme une sorte de spectacle. «Reverse Blinking» crée cette expérience. C’est un casque complètement fermé avec deux volets devant les yeux. Ils sont contrôlables par l’utilisateur. Le clignotement inversé fonctionne sur piles et peut être utilisé librement à l’intérieur ou à l’extérieur du musée. Il est préférable de l’utiliser là où il y a beaucoup de mouvement et de monde. «Reverse Blinking» fait partie d’une série d’œuvres d’art, à travers laquelle l’artiste essaie d’ajouter des effets vidéo et photographiques à notre façon naturelle de voir.

JONNA KINA

Arr. pour une scène
La force sonore de la scène de meurtre la plus célèbre du cinéma est étudiée. Deux artistes foley recréent la séquence de douche d’Hitchcock, déconstruisant les associations de signifiants auditifs et le pouvoir synesthésique du son. Jonna Kina contextualise ce phénomène étrange – la qualité trans-sensorielle du son – à la fois dans l’œuvre de Kina, ainsi que dans d’autres œuvres historiques et contemporaines à l’intérieur et à l’extérieur du domaine de l’art. Dans Arr. for a Scene (2017), Kina explore les structures et les formes du son cinématographique – en transformant une image emblématique – la scène de douche horrible dans Psycho d’Alfred Hitchcock (1960) – en fréquences sonores d’objets domestiques originaux et apparemment innocents.

LEE YONG BAEK

Soldat Ange
Lee est surtout connu pour ses œuvres d’installation à une seule chaîne vidéo, mais présente en fait un plus large éventail d’œuvres, notamment des sculptures, des arts cinetiques,des peintures et des performances. Ses pièces couvrent des thèmes tels que la religion, la style=”color: #333399;”>politique et la philosophie.

MOMENT FACTORY

Imagerie animiste
L’exposition présente aux visiteurs Duffy, l’artiste IA, avec une invitation à collaborer au sein de son studio Symbiotic. Cet espace immersif, rendu possible grâce à la projection mapping et à la technologie interactive, invite les invités à devenir l’égérie de l’IA. Alors que Duffy capture les mouvements générés par les visiteurs grâce à un suivi en temps réel, elle dessine des liens et des connexions, consultant une vaste collection de couleurs et d’images archétypales de la vie sur Terre. Le résultat est une série infinie d’œuvres d’art surprenantes – une interprétation artificielle de l’humanité et du monde naturel.

EMMANUEL VAN DER AUWERA

Vidéosculpture XXI
Les VideoSculptures de Van der Auwera prennent une nouvelle position pour explorer les intersections de la vie numérique et physique et comment le filtrage des images dans la production, la diffusion et la digestion modifie à la fois la perception individuelle et l’expérience consensuelle. Utilisant l’écran comme matériau sculptural, ces œuvres sortent les images du cadre de manière low-tech. Ils commencent par un acte de destruction alors que l’artiste prend littéralement un couteau sur un écran pour découper des couches physiques. À l’insu de la plupart, ces couches sont des filtres qui adhèrent à chaque écran LCD. Sans la médiation de ces filtres, les images deviennent impossibles à voir à l’œil nu et le bruit blanc remplit l’espace.

Tabor Robak

Blossom
l’artiste explore une réalité numérique secondaire, rendue dans ce qu’il appelle une «esthétique de tutoriel Photoshop» ou une «esthétique d’économiseur d’écran de bureau». Ses environnements méticuleusement produits et filmés sont bricolés à partir de sources à la fois échantillonnées et modélisées à la main. Les œuvres sont appropriatives, tant dans leur objet que dans leur esthétique, en utilisant des éléments achetés puis édités pour ses besoins.

Adam Martinakis

Ses œuvres me semblent trop interconnectées, elles se concentrent principalement sur les thèmes du corps, son rapport avec la vie, la mort et la sexualité à l’ère numérique. Générées par ordinateur, ces sculptures numériques ont un caractère photoréaliste et surréaliste, qui selon lui est «un mélange de futurisme post-fantastique et de symbolisme abstrait». Bárbara Anjos

VINCENT MAUGER

Super Asymmetry
Le travail de Vincent Mauger s’appuie sur une analyse in situ précise qui dévoile les atouts ou la fragilité de l’espace concerné et le métamorphose. A partir de modélisations et de matériaux récurrents : bois, brique, polystyrène, pvc, ses œuvres s’appréhendent du micro au macro.

MATHILDE ROUSSEL

ماتيلد روسيل
玛蒂尔德罗素
Матильда Руссель
Lifes of Grass
Mathilde Roussel est une artiste française travaillant à Paris. Son travail “questionne la nature humaine dans ce qu’elle a de plus imperceptible”. Chacune de ses œuvres dévoile en effet des évolutions, mutations souvent discrètes qui s’opèrent pourtant en chacun de nous. Pour ce faire, ses installations reposent le plus souvent sur des matériaux et idées très simples mais néanmoins frappantes..

NeSpoon

public art
Situé entre l’art de la rue, la poterie, la peinture, la sculpture et les bijoux, NeSpoon est un artiste de rue polonais. En mission pour broder le monde, elle enrichit l’art urbain déjà diversifié avec sa propre marque unique d’art de dentelle. En utilisant des motifs de napperons complexes, l’artiste embellit des espaces abandonnés et sans ornements dans des jungles urbaines improbables, les transformant en de superbes œuvres d’art.

kazumasa nagai

ueno zoo
Au cours de sa longue vie créative, le graphiste japonais a dessiné un grand nombre d’affiches: 475 d’entre elles ont été présentées dans une grande rétrospective de Nagai en 2014, et selon lui, ce n’est que la moitié environ de toutes les œuvres qu’il a créées.
Et étonnamment, la plupart des affiches des années 1960 et 70 ont même l’air moderne et pertinentes.

EVELIEN GERRITS

Colourful lines

‘Colorful lines’ est une belle photographie d’Evelien Gerrits, prise à l’intérieur de Dick Bruna House – un musée néerlandais célébrant spécifiquement ses œuvres.

LORI HERSBERGER

Geist No.15

“L’art de Lori Hersberger met l’accent sur l’opposition entre le monde de l’illusion et celui de la réalité, tout en faisant allusion à l’espace qui les sépare. En ce sens, ses œuvres sont à la fois sublimes et grotesques – une combinaison qui est également clairement exprimée dans ses expositions actuelles “Lori Hersberger

LEAH SCHRAGER

Sunset Blvd
Leah Schrager est une artiste numérique et une interprète en ligne. Elle est le modèle, la photographe, l’artiste et le distributeur de ses images. Ses œuvres visuelles appliquent une esthétique picturale aux formes corporelles et tirent souvent leurs matériaux de sa pratique conceptuelle en ligne. Ses performances en ligne sont @OnaArtist (Instagram 3m) et Sarah White (The Naked Therapist). Avec ces performances, Schrager explore les thèmes de la sexualité, de la représentation et de la distribution. Sa pratique est située dans un foyer contemporain d’injustice, de réveil, de célébrité, de célébrité et de commercialisme féminin qui cherche à explorer la biographie et le travail des femmes dans la société mondiale d’aujourd’hui.

Ambera Wellmann

Ambera Wellmann maîtrise comme aucun autre la capacité à déformer la réalité et à produire de l’ absurdité et du ridicule dans les objets de tous les jours. Les réactions à ses œuvres se situent quelque part entre le dégoût et le rire. De manière habile elle change la perspective des objets dans un nouveau contexte et réussit à jouer avec la perception et les attentes de son public. Ses peintures se concentrent sur des questions importantes telles que la sexualité et la sensation de son corps avec des objets aussi simples que des bananes.

TAKIS

electromagnetique

Takis cherche à matérialiser des forces secrètes et mystérieuses, comme l’électricité ou le magnétisme, en les révélant par les mouvements qu’elles induisent ou les sons qu’elles produisent.
Il y a de la magie à voir bouger des objets durs et lourds, mus par une force obscure, soulignée par un dispositif plastique. Ses œuvres sont des pièges à énergie.

Michael Sailstorfer

Ideal Oben
La position artistique de Michael Sailstorfer est constamment remettre en question et d’élargir la notion classique de la sculpture. Avec ses œuvres souvent richement produits qu’il met les processus de la vie quotidienne dans les relations insolites les uns envers les autres. Il intègre la lumière, le son et l’odeur à l’intérieur de ses installations générant ainsi des images de puissance poétique.

RUUD VAN EMPEL

루드 반 엠펠
РУУД ВАН ЭМПЕЛЬ

Créateur d’atmosphères fraîches et verdoyantes, Ruud Van Empel marie avec subtilité les sujets de ses photographies avec les espaces dans lesquels il les plonge. Nées d’un véritable processus créatif alliant collage, prise de vue et retouche photographique, les œuvres de cet artiste hollandais incitent le spectateur à s’abandonner et à contempler les traces d’un voyage improbable dans les pays les plus lointains.

STEPHANIE JUNG

ستيفاني جونغ
스테파니 정
Стефани Юнг

Stephanie Jung est une photographe traitant à travers ses clichés de thèmes comme l’urbanisme, l’identité ou l’accélération. Elle parcouru les rues de nombreuses villes du Japon comme Tokyo, Shibuya ou Osaka, mais aussi d’Europe comme Berlin ou Paris à la recherche de ce perpétuel mouvement et de ce temps qui s’écoule grâce à des photographies utilisant la surimpression. Très graphiques et dynamiques, ses œuvres ne sont pas sans rappeler celle de Pep Ventosa ou de Corinne Vionnet.

Jean-François Brun, Dominique Pasqualini and Philippe Thomas

INFORMATION FICTION PUBLICITÉ (IFP)
De temps à autre

Le MAC/VAL donne à son tour un éclairage inédit sur IFP, en parfaite association avec les artistes, Jean-François Brun et Dominique Pasqualini et en misant sur une très forte documentation. Si l’exposition ne présente pas de nouvelles pièces – et pour cause, les activités de l’agence cessent en 1994 –, elle associe volontairement les deux protagonistes à son élaboration même, avec la volonté de réactiver, réactualiser, voire même «amplifier» certaines œuvres emblématiques comme les images de ciels nuageux, les bâches, les caissons lumineux ou autres plots, en plaçant le visiteur au centre du processus.

Susanna Fritscher

Souffle
Connue pour ses interventions « minimales », discrètes et aériennes qui s’inscrivent en dialogue avec l’architecture, l’artiste d’origine autrichienne propose au Frac Franche-Comté une série de nouvelles œuvres produites pour l’occasion : Installations, pièces sonores, sculptures et dessins révèlent une œuvre sensible jouant de la transparence, de la couleur et de la lumière.more

PAOLA GAETANO-ADI

Desiring Machine: and/or the female reincarnation of Sisyphus
Née en Argentine, Paula Gaetano Adi est artiste et chercheure dans les domaines de la sculpture, de la performance, et des installations interactives et robotiques. Elle utilise le corps humain et non humain comme point de départ de ses recherches, et s’intéresse aux effets discursifs et aux impacts affectifs des technosciences sur la subjectivité humaine et dans l’art. Ses œuvres ont été présentées sur la scène internationale à Beijing, Berlin, Madrid, Moscou, Stockholm, São Paulo, New York, Poznan et Buenos Aires, entre autres. Elle a reçu de nombreux prix et bourses, tels que le premier prix à la compétition VIDA 9.0 sur l’art et la vie artificielle, organisée par la Fundación Telefónica, et le premier prix LIMbØ du Musée d’art moderne de Buenos Aires, la bourse Fergus Memorial en 2009 et 2010 de même que la bourse accordée à un artiste ibéro-américain dans le cadre de la compétition VIDA 14.0. À l’heure actuelle, Paula Gaetano Adi est professeure adjointe dans le programme de Studio Art du College of Visual Arts and Design de l’Université de North Texas, où elle coordonne le secteur réservé aux nouveaux médias. À cette université, elle s’est également jointe au groupe Initiative for Advanced Research in Technology and the Arts (iARTA).

Violet Dennison

MUMBO JUMBO
En utilisant des matériaux de son environnement urbain, y compris du béton et des tasses à café, Violet Dennison crée des sculptures qui répondent aux conditions de travail modernes. Alors que ses sculptures abordent les conditions de travail terne avec esprit et parfois avec un ton moqueur, elle rejette des termes comme la satire comme trop restrictifs, déclarant qu’elle veut «que l’art soit plus ouvert que cela». Ses dernières séries d’œuvres évocatrices proviennent de chaises de bureau trouvées, qu’elle a démontées et re-combinées avec des arrangements fantaisistes composés de matériaux industriels quotidiens tels que les barres d’armature.

TAE GON KIM

تاي غون كيم
Robes de mémoire

Amant imaginaire
L’œuvre éthérée de Tae Gon Kim, Dresses of Memory, façonne des centaines de brins de fibre optique sous la forme de quatre robes magnifiques et extravagantes. Suspendues dans l’obscurité, les robes apparaissent comme des apparitions, scintillantes des royaumes de la fantaisie. Lentement, la fibre optique illuminée de chaque robe change de couleur, symbolisant son histoire et sa transformation au fil du temps.En créant l’œuvre, l’artiste s’est inspirée de l’écriture du théoricien et philosophe littéraire français Roland Barthes. Dans sa publication de 1978 A Lover’s Discourse: Fragments, Barthes écrivait: «Je veux être un, je veux que ce soit comme si nous étions unis, enfermés dans le même sac de peau, les vêtements étant l’enveloppe lisse du matériau fusionnant qui est en fait mon amant imaginaire.
Tae Gon Kim a interprété ce texte en créant des œuvres qui reflètent également sa propre fascination pour les relations et l’amour. Il veut que les robes amènent le spectateur à imaginer «que nous devenons les gens que nous aimons». En projetant des images sur les robes, il invite le spectateur à l’intérieur, «comme si nous portions nos désirs». Les différentes images racontent également l’histoire et en constante évolution de chaque robe.

SØREN DAHLGAARD

סורן דהלגארד
The Dough Warrior
painting his garden

Ses œuvres intègrent un processus de production gestuelle et performative aléatoire et dynamique, souvent réalisé en présence du public et utilisant le corps de l’artiste dans son ensemble. L’auteur se personnifie dans l’œuvre et vice versa, dans un processus dynamique et intrigant qui subvertit le concept de création de l’œuvre d’art. la nature et les objets du quotidien font partie du processus de création de l’artiste, qui utilise des éléments pour la production de ses œuvres, tels que des plantes, du pain, des ustensiles, des objets décoratifs ou utilitaires qui, alternativement, sont des outils ou se transforment en œuvres d’art . L’hypothèse est de briser le paradigme technique et conceptuel de la production artistique.

Lionel Estève

Circulation rouge

L’œuvre de Lionel Estève se situe à la croisée du dessin, de la sculpture et de l ‘installation. L’informel et la fragilité, qui caractérisent ses œuvres, éveillent notre perception d’une réalité infinie en dévoilant un espace palpable, presque tactile. Son travail joue sur l’espace, les couleurs et la perception sensorielle.
Ces œuvres rappellent l’intérêt de l’artiste pour les énergies créatrices et leurs captations.
Artisan, chercheur, Lionel Estève déploie matières, lignes, couleurs dans l’intervalle du perceptible et de l’imperceptible

AKATRE

Cheval de troie
«Одна голова хорошо, а три – лучше!» – пожалуй, эта слегка видоизмененная поговорка могла бы стать неплохим девизом для ребят из дизайн-студии Akatre. Вот уже 6 лет молодые французские дизайнеры плодотворно работают вместе.
Дизайн-студия Akatre – это трое молодых дизайнеров: Valentin Abad, Julien Dhivert и Sebastien Riveron. Сфера их деятельности – графический дизайн, типография, фотография, а также видео- и фото-инсталляции. Год назад ребята из Akatre отметили пятилетний «юбилей» деятельности выпуском книги о своем творческом пути, вышедшей в издательстве Gestalten. Ребята познакомились еще в художественной школе. Далее последовали небольшие совместные проекты, а по окончании обучения всем им удалось год поработать в качестве ассистентов в нескольких известных дизайн-студиях Парижа. Через год у них появилась своя «точка» – студия Mains d’Œuvres – этот момент можно назвать профессиональным рождением Akatre.
«Все эти годы мы придерживались одной и той же установки: гордиться тем, что мы делаем для каждого клиента и получать удовольствие от работы», – делится один из участников Akatre, – Каждый наш новый проект начинается с обсуждения: мы устраиваем небольшие собрания, чтобы наметить основной план действий. Далее мы расходимся, и каждый обдумывает собственные идеи. Когда же мы приходим к общему мнению относительно проекта, настает момент решать, кто из нас троих возьмется его курировать.
Нет какой-то определенной сферы, которая бы особенно вдохновляла молодых дизайнеров – кажется, им интересно все: современное искусство, концептуальное кино, хореография, музыка и архитектура…У Akatre большие планы на будущее: на повестке несколько интересных проектов, в том числе ряд выставок и фотосет для настоящей пантеры.

BART HESS

바트 헤스
巴特·赫斯
בארט הס
Барта Хесса
Heart to Mouth
Bart Hess, le dernier court métrage de l’artiste néerlandais, propose un échange passionnant de passion au ralenti pour l’amour. Selon Bart Hess, «il voulait créer une tension entre le corps et la matière – presque comme s’ils ne faisaient plus qu’un». Dans le court métrage ci-dessous, deux femmes se caressent la tête de ballon en latex pour exprimer l’amour l’une de l’autre. Les œuvres artistiques de Bart Hess ont été présentées lors de l’exposition «Dutch invertuals» lors de la semaine du design de Milan en 2009.

XU ZHEN

徐震
Jouer – Jessica
L’artiste contemporain Xu Zhen aime provoquer; ses œuvres portent un intérêt particulier au conflit, à l’inconfort et à l’ironie la plus pure, frivole et mégalomane.

BORIS ACHOUR

CONATUS :La Nuit du Danseur
Un danseur de claquettes portant un masque lumineux évolue la nuit au milieu des œuvres de l’exposition La Force de l’Art, au Grand Palais, à Paris.