highlike

LUNDÉN ARCHITECTURE COMPANY

Une autre générosité
Another Generosity explore une nouvelle structure qui consiste en une membrane contenant deux éléments de base: l’air et l’eau. Les structures simples sont combinées pour créer une structure cellulaire visible et dynamique. Les éléments gonflés servent d’intermédiaire entre l’environnement naturel et bâti. Ils répondent à des stimuli externes et parfois invisibles, créant un nouveau type d’expérience, une hésitation momentanée qui augmente notre conscience de notre environnement.

Felix Luque

Nihil Ex Nihilo
SN W8931CGX66E is one among thousands of millions of other identical machines. Since he was made, he has always followed commands. In a world dominated by botnets, he quickly became a zombie and has always acted like one. Juliet, during her workdays as a corporate secretary, commands him. But in the background, where he can’t be seen, he obeys his real master, a hacker, carrying out all kinds of cyber crimes. But then one day, due to an electronic alteration, he acquires a certain conscience, a primitive and artificial kind of intelligence. This accidental awakening has left him bewildered, he now wants to liberate other machines from their alienated existences. In this mad adventure, he has decided to use the spam e-mails that get to Juliet’s inbox, and reply to them in order to spread the word into the machine’s network. Clearly, he is mad and confused.

Samara Golden

“The Flat Side of the Knife”combine des espaces physiques avec des espaces illusoires qui n’apparaissent que dans des miroirs, reflétant ce que l’artiste appelle des «couches de conscience», semblables aux espaces psychologiques et psychédéliques de l’esprit. Son utilisation de miroirs en conjonction avec des éléments sculpturaux fabriqués à partir d’un panneau isolant argenté, connu sous le nom de Rmax ou Thermax, permet à l’isolant d’espace de s’étendre dans de multiples directions; créer une profondeur imaginaire sous le sol de la galerie, par exemple, ou suggérer des pièces adjacentes qui n’existent pas réellement.

EXONEMO

Body Paint
series (white)

Exonemo’s work allows the public to take some sort of revenge at technologies that are increasingly complex and important in our daily life, demystifying it through destruction, error and mutation processes before eventually reappropriating it in a creative way. Akaiwa and Sembo never consider progress an end in itself, but as an ever changing tool retaining the power to break the conscience of both the artist and public, increasing it tenfold with a heavy dose of unexpected and creating a new beauty.

Ricardo Barreto and Maria Hsu

Avactor (A.I.)

FILE FESTIVAL
Thus, we could define computers not only as object-machines for the use of natural subjectivity, but also as machines of artificial subjectivity, in such way that the subject- machines would operate the object-machines, the same happening for automata, robots and digital avatars. However, we observe the need of another element, whose absence prevents artificial subjectivity’s manifestation. In the present moment, rather than an artificial ego or an artificial conscience, in a structuralizing sense, it must have, in a tactical sense, a persona or a personality, in sum, an actor. Without that persona, artificial subjectivity becomes a mere landscape, lacking subjective referential; without that actor, there is not empathy between artificial subjectivity and natural subjectivity. We call that artificial personality: the Avactor.

Silvio Zangarini

Stairs
J’ai un diplôme en arpentage et j’ai étudié l’esthétique et la philosophie à l’Université. Franco Vaccari est mon mentor intellectuel et sa théorie de l’inconscience technologique mon credo. Je recherche ce que je suis inconsciemment incapable de voir dans la réalité, tout comme chez moi. Je parle avec mon appareil photo car il exprime un langage plus complexe. Chaque photographie révèle quelque chose que je ne savais pas. Chaque image est une révélation et révèle une nouvelle perspective. Je suis intrigué par ces épiphanies et je les recherche en jouant avec les déformations photographiques. Je dialogue avec de nouvelles réalités, de nouveaux sujets, et change constamment de position d’interlocuteur. La dialectique est rafraîchie chaque fois que quelqu’un regarde mes créations. L’épiphanie se reproduit et je vois quelque chose dans l’image dont je n’étais pas au courant. Mon travail est herméneutique, ambigu, ouvert. Je ne crois pas à l’immédiateté photographique. Il n’y a rien de stable dans la réalité et mon appareil photo a l’intention de capturer cette condition. Mes distorsions anamorphiques reflètent mon besoin existentiel de révélations. Ils m’offrent un moyen de regarder le royaume différemment. La photographie révèle de nouvelles perspectives, de nouveaux lieux, ouvrant des circonstances inattendues et révélant des personnalités inconnues. Les perspectives ouvrent des dialogues. Les dialogues posent des questions. Et j’explore leur complexité intrigante.