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PATRICK TRESSET

Étude humaine #1
L’installation interactive Human Study #1 de Patrick Tresset se compose de trois robots dessinateurs. Les visiteurs peuvent s’asseoir comme des modèles pour être visuellement enregistrés et représentés par les trois machines. Chacun des trois robots dessine dans son propre style et manie le stylo d’une manière différente. A côté du bras de dessin, chaque robot est équipé d’une caméra mobile. Ils les utilisent pour observer alternativement le modèle et le dessin résultant. Tresset n’est pas intéressé à utiliser les robots pour simuler un style de dessin humain. Il examine plutôt les différences entre l’exécution humaine et robotique. Tresset décrit les capacités de ses machines comme « non intelligentes ». Ils donnent seulement l’impression d’agir de leur propre gré. Ils font preuve d’un comportement humain, mais basé sur un programme ne stipulant qu’un ensemble restreint d’actions.

Aidan Meller

AI-DA
Ai-Da est le premier artiste ultra-réaliste au monde. Elle dessine en utilisant des caméras dans ses yeux, ses algorithmes d’IA et son bras robotique. Créée en février 2019, elle a eu sa première exposition solo à l’Université d’Oxford, « Unsecured Futures », où son art a encouragé les téléspectateurs à réfléchir à notre monde en évolution rapide. Depuis, elle a voyagé et exposé des œuvres à l’échelle internationale, et a eu sa première exposition dans un grand musée, le Design Museum, en 2021. Elle continue de créer de l’art qui remet en question nos notions de créativité dans une ère post-humaniste.

ROBERT HENKE


光正在使用高精度激光在屏幕上绘制连续的抽象形,并与声音完美同步。强烈的光线与完全的黑暗形成对比,缓慢的动作和微小细节的演化与强而有力的手势一样重要。结果既是古朴的又是未来主义的。新兴的模式为许多可能的解释留出了空间。象形文字,一种未知语言的符,建筑图纸,数据点之间的连接或类似Tron的早期视频游戏放大了1000

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Light

Light is using high-precision lasers to draw continuous abstract shapes on the screen, perfectly synchronized with the sound. Intense light contrasts with total darkness, and slow movements and the evolution of small details are as important as strong gestures. The result is both quaint and futuristic. Emerging models leave room for many possible explanations. Hieroglyphs, symbols in an unknown language, architectural drawings, connections between data points, or early video games like Tron are magnified 1,000 times.

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Lumière

La lumière utilise des lasers de haute précision pour dessiner des formes abstraites continues sur l’écran, parfaitement synchronisées avec le son. La lumière forte contraste avec l’obscurité totale, le ralenti et l’évolution des petits détails sont aussi importants que les gestes forts. Le résultat est à la fois pittoresque et futuriste. Les modèles émergents laissent place à de nombreuses explications possibles. Les hiéroglyphes, les symboles dans une langue inconnue, les dessins d’architecture, les connexions entre les points de données ou les premiers jeux vidéo comme Tron sont agrandis 1 000 fois.

Vjsuave

Suaveciclo
File Festival
Vjsuave est Ygor Marotta et Cecilia Soloaga, un duo d’art des nouveaux médias, basé à São Paulo, au Brésil. Spécialistes de l’animation, de la projection en mouvement et du graffiti numérique, ils ont réalisé 4 courts métrages, «Run», «Homeless», «La Cena» et «Trip». Leurs principales performances sont: «suaveciclo» – un tricycle adapté pour projeter dans le rues, peinture en direct et animation avec ipad, performances audiovisuelles en direct, vidéo mapping et installations audiovisuelles spécifiques au site. Ils veulent communiquer l’amour à travers la lumière. Leurs performances sont poignantes, chaleureuses et personnelles, fabriquées à partir de supports dessinés et peints à la main, transformées en animation numérique, puis cartographiées par projection d’une manière qui semble donner vie aux rues de São Paulo. Les personnages dansent et courent à travers le paysage urbain, avec un mélange convaincant de mouvement simulé et de véritable projection en mouvement.

MOMENT FACTORY

Imagerie animiste
L’exposition présente aux visiteurs Duffy, l’artiste IA, avec une invitation à collaborer au sein de son studio Symbiotic. Cet espace immersif, rendu possible grâce à la projection mapping et à la technologie interactive, invite les invités à devenir l’égérie de l’IA. Alors que Duffy capture les mouvements générés par les visiteurs grâce à un suivi en temps réel, elle dessine des liens et des connexions, consultant une vaste collection de couleurs et d’images archétypales de la vie sur Terre. Le résultat est une série infinie d’œuvres d’art surprenantes – une interprétation artificielle de l’humanité et du monde naturel.

kazumasa nagai

ueno zoo
Au cours de sa longue vie créative, le graphiste japonais a dessiné un grand nombre d’affiches: 475 d’entre elles ont été présentées dans une grande rétrospective de Nagai en 2014, et selon lui, ce n’est que la moitié environ de toutes les œuvres qu’il a créées.
Et étonnamment, la plupart des affiches des années 1960 et 70 ont même l’air moderne et pertinentes.

Philippe Grammaticopoulos

Le Régulateur
Philippe Grammaticopoulos est un artiste inspiré, il s’exprime au travers d’un univers graphique et thématique facilement identifiable. Esthétiquement d’une part, il privilégie les contrastes opposés des noirs et des blancs, on peut y voir une réminiscence puisée non seulement dans les palettes graphiques et didactiques et dans les univers des formes du Bauhaus dont l’influence est pérenne, mais aussi au travers des dessins des graphistes de la bande dessinée des années 50

JAKOB + MACFARLANE+ ELECTRONIC SHADOW

FRAC centre

EN 2006, le Frac Centre d’Orléans lance un grand concours international d’architecture pour imaginer et construire le bâtiment qui devrait héberger ses expositions temporaires dont Archilab et sa collection permanente d’art et d’architecture, l’une des plus importantes au monde en ce qui concerne l’architecture contemporaine. Le concours comportait cette particularité d’associer une équipe d’architectes à un artiste, une première. Au terme de ce concours, la paire Jakob MacFarlane + Electronic Shadow est lauréate avec son projet de Turbulences et sa peau lumineuse interactive intégrée à l’architecture.
Sept ans plus tard, le bâtiment est sorti de terre et s’ouvre enfin au public.
L’oeuvre intégrée au bâtiment en dessine les contours par la lumière et évolue au gré des informations qu’elle collecte sur les réseaux, conditions climatiques, saisons, vitesse du vent, autant de paramètres qui influencent le comportement de la peau de lumière.