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DIDIER MARCEL

DIDIER MARCEL

source: mamparisfr

Didier Marcel a fait partie des Ateliers 1988 de l’ARC et a été lauréat du premier Prix de la Fondation d’entreprise Ricard en 1999. Plusieurs expositions personnelles lui ont été consacrées, notamment au MAMCO de Genève (2005), au Musée d’Art moderne et contemporain de Strasbourg (2006), ou au MUDAM Luxembourg (2009). Il participe également au projet d’intervention artistique sur la ligne du nouveau tramway parisien T3 Est.

Didier Marcel est né en 1961 à Besançon. Il vit et travaille à Dijon.
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source: ensa-dijonfr

Didier Marcel est né en 1961 à Besançon, il vit et travaille à Dijon.
Diplômé de l’école des Beaux-Arts de Besançon, de l’Université Paris I Panthéon-Sorbonne et de l’Institut des Hautes Etudes en Arts Plastiques de Paris, Didier Marcel enseigne à l’ENSA Dijon depuis 2006. Il développe un travail qui porte sur la relation et les sentiments ambivalents que l’homme contemporain entretient avec la Nature tenant à la fois de la nostalgie et de l’impossibilité. Les formes autonomes sont obtenues par des moulages d’éléments naturels (terres labourées, arbres, rochers) qui accèdent à une autre réalité par une somme d’opérations telles que le cadrage, le flocage des surfaces, le redressement au mur ou la surélévation. Ces dix dernières années, Didier Marcel a exposé dans les grandes institutions culturelles internationales : Musée d’Art moderne de la ville de Paris, Hyde Park Art Center de Chicago, Mudam Luxembourg, Grand Palais à Paris, Musée d’art contemporain de Lyon, Mamco de Genève, etc. Ses œuvres font partie des collections, entre autres, du Centre Georges Pompidou de Paris, du Musée d’art moderne de la Ville de Paris, du Fonds National d’Art Contemporain, du Frac Bourgogne.
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source: mamparisfr

Here Didier Marcel, whom we know as a romantic model-maker – to quote Jérôme Mauche – takes us for a stroll. More exactly a stroll through the exhibition venue. Fortunately everything we see is a mix of the fake and the very fake, as in the case of Mother Nature and our media-mediated relationship with her.

Didier Marcel borrows from reality and sculpts from life. Whether the imprint is taken from the living or the mineral, and whether the model itself is artificial, the choice hinges systematically on a highly personal rapport with the banal: with everything that’s ordinary and invisible, everything that merges with the landscape.